Marina Aubert

Senior Data Consultant

Category: Change management

  • Les réseaux sociaux, un outil de motivation et de productivité

    Lle niveau de satisfaction au travail des employés interrogés est plus élevé dans les entreprises qui autorisent l’accès aux réseaux sociaux (63 %), qu’au sein des entreprises qui en restreignent l’accès (41 % de taux de satisfaction).

    (…)


    Avec une formation adaptée, les employés peuvent devenir des porte-parole efficaces pour l’entreprise et contribuer à son développement commercial ainsi qu’à la valorisation de l’image de marque. En effet, plus de la moitié des employés (57 %) qui ont reçu une formation spécifique à l’usage des réseaux sociaux sont susceptibles de diffuser des messages positifs sur l’entreprise – contre seulement 36 % des employés qui n’ont pas reçu de formation.

    (…)

    Les entreprises interrogées déclarent utiliser les réseaux sociaux à des fins promotionnelles (66 %) et de développement commercial (62 %) ou encore pour améliorer la relation client (59 %) et valoriser leur image de marque (59%), mais aussi dans le cadre du recrutement (58 %) et du développement de l’innovation (57 %).
     
    Si l’utilisation des réseaux sociaux dans l’entreprise continue de susciter quelques craintes, les risques sont clairement compensés par de nombreux avantages : en effet, 80 % des entreprises qui ont déployé une stratégie ont constaté un bénéfice réel des réseaux sociaux sur leur activité : près de 9 répondants sur 10 évoquent le partage des connaissances (88,8%) et l’amélioration du bien-être au travail (86,9%), plus de 80 % déclarent cultiver leur réseau relationnel (85 %) et générer des gains de productivité (82 %), et ils sont 79 % à indiquer que le profil public de leur société a été amélioré grâce à la participation des employés.

  • 14/02/12 Manager ou animer à distance ? à Lille (ou à distance!)

    Mon correspondant Xavier de Mazenod m’a fait part de l’organisation d’un événement qui pourrait s’avérer très intéressant: un Barcamp sur le management à distance, ce 14 février à Lille.

    Evidemment, en bonne conscience professionnelle, il sera aussi possible d’y participer à distance!

    Il faut dire que Xavier, le télétravail c’est son dada. J’en profite d’ailleurs pour faire la promotion de son blog communautaire: ZeVillage.net, une mine d’informations et de réflexions pour ceux qui s’intéressent au sujet de la délocalisation vers la campagne, à temps plein ou à temps partagé.

  • La communication interne jugée déconnectée de la réalité de l’entreprise

    L’enquête révèle en effet que la communication qui vient d’en haut apparaît loin des préoccupations des salariés et déconnectée de la réalité du terrain. Ainsi, seuls 41 % des salariés non-managers déclarent que l’entreprise répond à leurs préoccupations (contre 76 % des managers). Et seule la moitié des salariés fait confiance à sa direction (communication, RH ou générale) pour l’informer, alors qu’ils sont 82 % à faire confiance à leurs collègues.”

    Une histoire de structures trop grandes?

  • 7-8 février 2012: Entreprise 2.0 Summit à Paris

    Media Partners Entreprise 2.0 SummitJ’ai eu l’honneur d’avoir été invitée à devenir Ambassadrice pour le Sommet de l’Entreprise 2.0 début février à Paris.

    Avec plusieurs compagnons de notre groupe de travail Entreprise Collaborative, nous nous étions rencontrés fin 2010 à Francfort pour la deuxième édition de cet événement. J’en avais d’ailleurs tiré mes conclusions .

    Je m’apprête à réserver train et hôtel, donc si vous voulez covoyager, n’hésitez pas à prendre contact! J’ai même le privilège de pouvoir vous communiquer des codes de réduction 🙂

    Le programme est ici

  • Le modèle français doit être refondé

    “A défaut d’un modèle introuvable – car chaque pays ne peut se réformer qu’en tenant compte de son histoire, de sa géographie, de ses structures et de ses atouts -, quelques principes émergent:

    • la nécessité de définir une stratégie de long terme;
    • la mobilisation des forces vives de la nation;
    • la supériorité des thérapies de choc sur les mesures graduelles.

    La priorité doit donc aller à la conversion du modèle de croissance à crédit à travers la réhabilitation de la production, du travail, de l’investissement et de l’innovation. L’urgence va à la reconstitution d’un appareil productif compétitif dans la mondialisation, ce qui implique un effort conjoint sur les coûts et sur la productivité à long terme.

    L’impératif de production va de pair avec la remise sous contrôle des finances publiques. La France doit assumer une stratégie de rigueur qui articule une forte baisse des dépenses publiques, leur réorientation vers l’investissement (justice notamment), enfin, une hausse modérée des impôts acquittés par les ménages. L’effort porte sur 100 à 120 milliards d’euros d’ici à 2016; il doit être effectué à hauteur de 80% par des baisses de dépenses, et à hauteur de 20% par des privatisations.

    La lutte contre le chômage permanent constitue le troisième levier. L’urgence commande de mettre un terme à l’envolée des coûts du travail. D’où la maîtrise des dépenses de protection sociale et le basculement d’une partie de leur financement vers la fiscalité – notamment via le relèvement de la CSG et l’élargissement de son assiette aux pensions de retraite.”

  • Dix ans sans patron et l’usine tourne toujours

    COOPERATIVE. Si Ghelco fonctionne à 40% de sa capacité, ses travailleurs touchent trois fois le salaire minimal argentin.

    Dans un hangar du Sud de Buenos Aires, une cinquantaine d’ouvriers en uniforme s’agitent autour d’immenses machines pour confectionner pâtes de chocolat, crèmes chantilly et autres produits sucrés destinés aux glaciers et pâtissiers. A première vue, une usine assez traditionnelle. Mais ici, point de contremaître, pas d’homme en costume gris donnant des ordres, encore moins d’actionnaires.

    ” A Ghelco, toutes les décisions sont votées par les ouvriers à la majorité “, explique Daniel Lopez, 41 ans, machiniste et président de cette coopérative. Comme plus de 200 entreprises argentines, Ghelco a été récupérée par ses employés après la grande crise de 2001. Des entreprises employant près de 10 000 personnes qui, dix ans plus tard, continuent de fonctionner. A l’époque, la situation de Ghelco est pourtant aussi critique que celle du pays. Mal gérée, la société est fortement endettée et multiplie les plans de rigueur. En décembre, les salaires sont divisés par deux. C’est l’explosion. Les manifestations s’enchaînent dans l’usine comme dans tout le pays. En janvier 2002, le pays se déclare en défaut de paiement. Quelques semaines plus tard, Ghelco annonce sa faillite…

    ” C’était ça ou faire les poubelles”

    ” Quand nous sommes allés voir le juge pour demander de reprendre la fabrique, il nous a ri au nez “, se rappelle Daniel. ” Des personnes très qualifiées ont échoué, et vous pensez réussir? ” s’entendent-ils répondre. Mais les Ghelco s’accrochent. ” Il n’y avait plus de travail dans le pays. C’était ça ou faire les poubelles “, explique José Guglielmero, 54 ans. Pendant six mois, les ouvriers campent donc devant l’usine, la faim au ventre, empêchant les anciens patrons d’emporter les machines.

    ” Le plus dur, changer de mentalité “

    En juin 2002, victoire: ils obtiennent le droit de louer les locaux. Plusieurs lois favorables aux travailleurs leur permettront par la suite de racheter l’usine, avec un crédit de vingt ans consenti par le gouvernement. En misant sur la qualité et en travaillant au départ jusqu’à seize heures par jour, ils reconquièrent des clients. Résultat: aujourd’hui, chaque travailleur de Ghelco touche 800 euros par mois, trois fois le salaire minimal argentin. Daniel a même pu s’acheter une petite maison.

     Certes, tout n’est pas rose dans ce temple du sucre. ” Au début, prendre des décisions en groupe était un casse-tête, reconnaît José. Le plus dur est de changer de mentalité. Certaines attendent toujours d’être contrôlés pour travailler. ” Et Daniel ajoute: ” Nous manquons aussi de connaissances en marketing pour augmenter nos ventes. ” L’usine ne marche qu’à 40% de sa capacité et peine à économiser pour rembourser sa dette.

     Pourtant, les ouvriers ne regrettent pas. ” J’étais en dépression. Avoir des responsabilités m’a ressuscité “, confie Daniel. En Argentine, la croissance est d’ailleurs de retour, le taux de chômage a été ramené à 7%, mais des ouvriers choisissent encore régulièrement de récupérer leur usine en faillite, par attachement ou simplement pour vivre sans patron.

    Alice Pouyat, à Buenos Aires

  • Besoin de capitaux? Quelques nouveaux fonds…

    A consulter aussi:

    • Semaphore: un service des CCI proposant via un moteur de recherche l’accès à 5000 dispositifs d’accompagnement européens, nationaux et locaux
    • Aides-entreprises: fonds documentaire complet développé par l’Institut Supérieur des Métiers, sur les aides et subventions auxquelles vous pouvez prétendre.
    • Financement-TPE-PME: informations sur les différentes aides auxquelles vous pouvez prétendre suivant votre situation, et sur les solutions alternatives de financement, développé par le Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables.
    • France Angels: la fédération des réseaux de business angels.
    • 61 % des hommes sont convaincus que la situation des femmes s’est améliorée depuis deux ans, mais seulement 30 % des femmes partagent leur avis

      “Et comme d’habitude, des candidatures de femmes avaient été écartées par ces messieurs pensant qu’elles n’en avaient pas envie… tout occupés qu’ils sont à se persuader que leur rôle de mère de famille doit primer sur leur implication dans la marche du monde. Poser la question aux intéressées ? Ils n’y avaient manifestement pas pensé.”

      Source: http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/entreprendre-articles-section/entreprendre/1565-direction-entreprise-elles-disent-oui-ils-entendent-non

    • 5 trends driving the future of work

      Trend 1: Independent consulting to see hockey stick growth curve
      Trend 2: Order books, movies, and now….workers online
      Trend 3: Coworking moves beyond early adopter stage
      Trend 4: Adaptive lifelong learning the norm
      Trend 5: Jobs of the future will either retrofit and blend existing jobs, or solve entirely new problems

      Source: http://www.zdnet.com/blog/emergingtech/5-trends-driving-the-future-of-work/3058

    • Des propositions concrètes pour promouvoir l’envie d’entreprendre

      Les cinq actions à mettre en place pour promouvoir l’entrepreneuriat

      1. Encourager la dynamique entrepreneuriale en mesurant la création d’emplois générés par les PME.
      2. Promouvoir les entrepreneurs en les rendant davantage visibles via une émission télévisée pour montrer que l’entrepreneuriat est aussi un parcours professionnel.
      3. Soutenir les jeunes entrepreneurs grâce à un système de mentorat.
      4. Enseigner le métier d’entrepreneur depuis l’école primaire jusqu’aux études supérieures.
      5. Soutenir l’innovation comme levier à la création d’entreprise et donc d’emplois, et mettre en oeuvre un programme d’accompagnement des PME à la mise sur le marché des innovations. ”

      Source: Des propositions concrètes pour promouvoir l’envie d’entreprendre