Marina Aubert

Senior Data Consultant

Category: Social innovation

  • La ligne éditoriale de votre (personal) branding

    En donnant mes formations sur l’e-réputation, je me suis rendue compte qu’il n’existait pas de ressource “simple” expliquant ce que devait comporter une ligne éditoriale à destination d’une e-réputation ou d’un personal branding. Tous enrichissements sont les bienvenus.

    La ligne éditoriale définit le type de communication de chaque e-canal, dans le cadre de vos objectifs de e-réputation.

    Vous devez mentionner pour chaque e-canal:

    • son objectif de communication,
    • son positionnement par rapport aux autres e-canaux,
    • les types de contenus publiés:
      • articles, photos, vidéos, sons,
      • contenus propres, contenus relayés (manuellement, automatiquement, de quelle provenance), contenus commentés,
      • avec quel ton, selon quel style d’expression

    EDIT

    La ligne éditoriale précise également de manière pratique le format, le ton, et la fréquence de son expression. Elle est un des éléments de la charte éditoriale.

     

  • A chaque génération son boulot

    Quand ma grand-mère de 88 ans s’inquiète pour mon avenir, alors qu’elle a vécu la Seconde Guerre Mondiale… je me dis que nos soucis économiques ne sont que des petits cailloux dans nos chaussures (des chaussures sans trous, contrairement à celles de beaucoup d’enfants pendant la guerre).

    Pour la rassurer, j’ai mis en perspective nos difficultés: oui, ce n’est pas facile. Mais pour quelle génération, la vie a-t-elle vraiment été facile? Faut-il que nous ayons à détruire puis à reconstruire notre pays, pour que nous puissions être fiers d’une croissance telle quelle était dans les Trente Glorieuses?

    Au final, je me rends surtout compte que, nous aussi, nous devons surtout nous remonter les manches, et que c’est avoir une vision de l’Histoire un peu courte que de se dire que nous n’avons pas de chance. Arrêtons de nous reposer sur les lauriers des autres, et hop, au boulot!

  • Des réseaux sociaux en entreprise, à l’intelligence collective

    Stimulation de l'intelligence collective

    J’avais déjà expliqué sur le blog d’Orchestraaa les résultats étonnants auxquels j’étais arrivée lors d’une première journée d’atelier de formation sur l’e-réputation puis d’une deuxième journée sur les réseaux sociaux en entreprise, auprès d’un groupe de chercheurs d’emploi à Tournai.

    Technocité m’a aujourd’hui donné l’occasion d’étendre la formation sur les réseaux sociaux sur deux jours, à Mons. Motivée par le mémoire de Patricia sur la médiation et l’intelligence collective, je me suis dit que quitte à étudier les réseaux sociaux, autant plonger vraiment dans la pratique et faire travailler le groupe sur leur communauté interne au travers d’un réseau social interne, puis sur la visibilité de leurs talents via les réseaux sociaux externes.

    Evidemment, l’exercice était introduit, documenté, encadré. Le groupe était constitué de demandeurs d’emploi, surtout professionnels en communication. Le public cible idéale pour semer tout un tas de petites graines à voir grandir dans leurs prochains emplois 🙂

    La construction de la communauté interne a clairement pris beaucoup plus de temps que je ne l’avais prévu… mais elle a permis de jeter les bases d’une communauté durable.
    Les participants ont choisi d’ouvrir un Yammer ; prévoyante, j’avais déjà réservé un nom de domaine dédié: Technocity.me.

    A court terme, l’objectif est évidemment de professionnaliser la pratique des réseaux sociaux, et d’en recueillir les fruits en terme de productivité et de valorisation des talents.
    A moyen terme, cette communauté regroupant des chercheurs d’emploi qui se connaissent pourrait peut-être même contribuer à les aider à trouver un emploi, voire à développer leur propre activité? Sérendipitons!

    (et évidemment j’y ai invité les participants du groupe de Tournai)

  • La richesse des rencontres professionnelles

    Je considère la richesse des rencontres effectuées dans la cadre professionnel comme un avantage en nature.
    Sandro Faiella
  • Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres.

    Je reste perplexe sur ces web entrepreneurs partis outre-atlantique vivre le rêve américain, qui reviennent régulièrement, via leurs blogs ou via la presse, cracher sur l’économie européenne.
    Comme si l’Europe ne faisait rien pour stimuler la créativité et l’innovation, comme si l’Europe n’affichait pas la meilleure productivité au monde, comme si l’Europe ne présentait pas parmi les meilleurs chiffres de protection sociale au monde.

    Alors certes, la Silicon Valley est aux Etats-Unis, et nulle part ailleurs.

    Mais dois-je rappeler que ce pays-continent est unilingue, parce que les populations autochtones ont été décimées par les envahisseurs (européens)?
    Faut-il rappeler qu’il bénéficie largement de la fuite des cerveaux des pays qui, eux, investissent vraiment dans l’enseignement de qualité pour tous?

    Comme dit ma mère: ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres…

  • Ne plus avoir peur, grâce à l’hygiène de surf

    Technocité, sous contrat avec Le Forem, m’a permis de donner plusieurs formations à un même groupe de demandeurs d’emploi sur l’e-réputation, les réseaux d’entreprise, et le micro-blogging professionnel via Twitter.

    Grâce à l’ouverture d’Orchestraaa, j’ai pu comprendre d’où venaient les blocages auxquels je faisais régulièrement face dans mes formations. Certes, j’ai toujours pu compter sur mon enthousiasme pour arriver à convaincre les plus réticents, mais mon argumentaire relevait peut-être un peu trop souvent de la méthode Coué que de les amener à un travail de conviction profonde.

    Grâce à ma collaboration avec Patricia Soumarmon, j’ai compris que ces blocages venaient la plupart du temps de la peur de l’inconnu, de la peur véhiculée par les cas exceptionnels relatés par les grands médias. Et j’ai pris le problème à bras le corps: la peur, ça se gère.

    J’ai déjà repris ailleurs comment gérer cette peur. Néanmoins l’une d’elle, c’est l’hygiène de surf.

    “Hygiène de surf” est une vieille expression de blogueurs. Quand on surfe, il y a effectivement des bonnes habitudes à prendre:

    • pour éviter de télécharger des virus, des chevaux de Troie (trojan),
    • pour éviter de relayer des fausses informations (hoax),
    • pour éviter de se faire voler ses données et ses codes d’accès (fishing),
    • pour éviter de se faire voler son identité numérique,
    • pour ne pas se faire squatter sa connexion internet,
    • etc.

    Heureuse que je suis, un trio de participants à mes formations a bien accroché à ce principe, et ont développé le blog Hygiène2Surf.wordpress.com Longue vie à leur initiative!

  • Interview vidéo: la RueDuWeb pour EnterprizeTV

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=aRqyBdmx9x4]

  • Orchestraaa: de la SPRL pyramidale au collectif de spécialistes

    En 2010-2011, ma société, anciennement Journaliste-web.be, devenue CommunicationWeb.be pour arrêter d’être perçus comme des pondeurs de textes, s’est trouvée à la croisée des chemins:

    • d’un côté nos employés produisaient pour les marques du contenu web de grande valeur économique, mais trop peu exploité commercialement par celles-ci,
    • de l’autre d’autres sociétés, plus grandes et plus compétitives, nous demandaient de les accompagner dans les évolutions expérimentales compétitives du 2.0.

    (more…)

  • “Dès qu’un groupe atteint une certaine taille, il lui faut fonctionnellement s’organiser…”

    Comme l’expliquent François Balta et Gérard Szymansky : « Une entreprise comme toute institution sociale se caractérise par une distribution pré-définie des tâches, des rôles et des pouvoirs. Il s’agit d’une structure hiérarchisée avec métaphoriquement une base et un sommet. Historiquement, bien des tentatives ont été faites pour réaliser des structures sans hiérarchie. (more…)

  • Orchestraaa: pour la création de synergies

    Orchestraaa permet aux leaders d’expérimenter la New Way of Working, en en maîtrisant les risques, en réassignant les rôles, et en développement l’intelligence collective.

    Au sein de ce collectif, je travaille particulièrement avec Patricia Soumarmon sur l’accompagnement des leaders dans la création de synergies.

    Patricia Soumarmon est Médiatrice, elle travaille sur les talents, la motivation, sur les conflits et avec le dialogue. Marina Aubert est Activatrice, elle travaille sur les opportunités, sur l'agilité, sur les crises et dans l’environnement sécurisé du laboratoire. Ensemble, elles transforment le désengagement, en engagement, puis en expérimentations et enfin en intelligence collective. Elles accompagnent la maîtrise des risques à partir des peurs et des défiances et la réassignation des rôles au sein des entreprises.

    Je me concentre sur l’image des individus et de l’entreprise. J’axe mes interventions sur:

    • les outils de gestion des risques en communication,
    • le personal branding et l’e-réputation,
    • l’e-com mentoring.

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