Cela fait déjà 4 ans que ce collectif existe, et pourtant ce n’est que maintenant que je prends le temps de documenter la construction de ce collectif. Un besoin de jeter un oeil dans le rétroviseur pour pouvoir mieux me projeter en avant? (more…)
Category: Social innovation
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E-réputation: comment gérer les peurs
Quand Technocité m’a demandé d’organiser des formations à l’e-réputation, je me suis dit que je pouvais ENFIN sortir des outils numériques pour contribuer à ouvrir les consciences sur le long terme. Car après tout, qui nous dit que nos moteurs de recherche et réseaux sociaux actuels seront toujours les mêmes dans 5 ans? (more…)
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Eduquer à la joie
Chacun de nous recèle un don, un talent inné qui, s’il est respecté et honoré, nous transformera en être humain heureux, en contact avec sa joie de vivre, en accord avec lui-même et avec les autres. L’éducation a le devoir de reconnaître ce trésor, de le révéler et d’aider chaque personne à le développer.
Et si on essayait de voir les choses de manière positive?
Et si on tentait de percevoir dans chaque événement l’aspect constructif des choses?
Et si on travaillait à améliorer un peu chaque jour nos situations individuelle et de groupe?Cela fait maintenant bientôt 2 ans que je n’écoute plus ni ne regarde les informations des grands médias: ni journaux télévisés, ni nouvelles radiodiffusées. Comme promu par Tim Ferris, je laisse à mon cercle social le soin de m’informer de ce qui se passe de plus important dans le monde.
En général via la lecture d’articles journalistiques (en ligne) de qualité… ou via les critiques d’événements publics provenant de Facebook ou de Twitter.Depuis lors, je me rends compte que mon entourage a peur de tout, en veut “aux puissants”, “aux chômeurs”, “aux politiques”, “aux Chinois”, etc. Bref, les médias surfent sur la peur pour vendre, divisent pour mieux régner, et nous, pauvres moutons bien pensants, nous les écoutons religieusement…
Depuis lors, je suis moi surtout nettement moins stressée. Car après tout, pourquoi s’angoisser pour des choses sur lesquelles nous n’avons de toute façon jamais aucune prise?Et je continue mon petit bonhomme de chemin, construisant dans ma vie professionnelle la collaboration des équipes, l’ouverture aux idées et la reconnaissance des talents, et développant dans ma vie privée des projets joyeux et enthousiasmants.
What else?
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Pourquoi compliquer?
L’écart entre le ressenti et la verbalisation n’est pas évident. Et là, on peut aussi dire “attends, je réfléchis” ^^
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De Journaliste-web.be à Orchestraaa
A l’origine
Depuis 2003, l’entreprise a évolué avec les pratiques et les outils offerts par le Web grandissant. A ses origines, alors Journaliste-web.be, elle soutenait les entreprises et institutions publiques dans la dynamisation de leurs sites web ; en 2010, son action se voit renforcée par CommunicationWeb.be, sa cellule stratégique.
En 2012, le numérique pénètre tous les silos. Les réseaux sociaux s’internalisent. Les gains de productivité demandent aux processus de s’adapter, mais surtout aux organisations humaines de se repenser. L’entreprise devient Orchestraaa. Epaulée par ses change managers spécialisés, elle accompagne entreprises et institutions dans leur évolution numérique dans une vision stratégique à long terme.
Historique
2003-2012
Journaliste-web.be2010-2012 CommunicationWeb.be 2012-…
Orchestraaa2005 Finaliste wallon du Grand Prix de la Très Petite Entreprise
2006 Etude sur la satisfaction utilisateurs des Intranets, en partenariat avec Inside
2007-2010 Co-fondation de e-criture asbl, pour la promotion des métiers de l’écriture web
2008 Finaliste du Grand Prix Wallon de l’Entrepreneuriat
2008 Co-auteurs de Ecrire et Manager sa Communication Web
2009 Co-création du collectif RueDuWeb2010 Co-lancement du groupe de travail Entreprise collaborative
2011 Etude sur le profil des utilisateurs de Twitter en Belgique2012 Participation aux Assises de l’Intelligence Stratégique
2013 L’entreprise s’ouvre à d’autres expertises, et se transforme en collectif de spécialistes. -
“Travailler à distance nécessite d’y avoir été préparé”
“84 % s’estiment mal préparés à affronter les difficultés et les changements que cette façon de travailler implique. Selon les personnes interrogées, celles-ci peuvent être rangées dans cinq catégories :
- pour 79 % d’entre elles, le travail avec des interlocuteurs virtuels fait que les salariés manquent en général de temps pour véritablement apprendre à connaître leurs collègues.
- Pour près des trois quarts, cela affecte la vitesse dans la prise de décisions.
- Pour 71 %, cela diminue le taux de participation.
- Pour 69 %, cela fait se confronter différents styles de management,
- et de manières de prendre des décisions (55 %).
”
Source: http://www.atelier.net/trends/articles/travailler-distance-necessite-y-ete-prepare
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Dix ans sans patron et l’usine tourne toujours
COOPERATIVE. Si Ghelco fonctionne à 40% de sa capacité, ses travailleurs touchent trois fois le salaire minimal argentin.
Dans un hangar du Sud de Buenos Aires, une cinquantaine d’ouvriers en uniforme s’agitent autour d’immenses machines pour confectionner pâtes de chocolat, crèmes chantilly et autres produits sucrés destinés aux glaciers et pâtissiers. A première vue, une usine assez traditionnelle. Mais ici, point de contremaître, pas d’homme en costume gris donnant des ordres, encore moins d’actionnaires.
” A Ghelco, toutes les décisions sont votées par les ouvriers à la majorité “, explique Daniel Lopez, 41 ans, machiniste et président de cette coopérative. Comme plus de 200 entreprises argentines, Ghelco a été récupérée par ses employés après la grande crise de 2001. Des entreprises employant près de 10 000 personnes qui, dix ans plus tard, continuent de fonctionner. A l’époque, la situation de Ghelco est pourtant aussi critique que celle du pays. Mal gérée, la société est fortement endettée et multiplie les plans de rigueur. En décembre, les salaires sont divisés par deux. C’est l’explosion. Les manifestations s’enchaînent dans l’usine comme dans tout le pays. En janvier 2002, le pays se déclare en défaut de paiement. Quelques semaines plus tard, Ghelco annonce sa faillite…
” C’était ça ou faire les poubelles”
” Quand nous sommes allés voir le juge pour demander de reprendre la fabrique, il nous a ri au nez “, se rappelle Daniel. ” Des personnes très qualifiées ont échoué, et vous pensez réussir? ” s’entendent-ils répondre. Mais les Ghelco s’accrochent. ” Il n’y avait plus de travail dans le pays. C’était ça ou faire les poubelles “, explique José Guglielmero, 54 ans. Pendant six mois, les ouvriers campent donc devant l’usine, la faim au ventre, empêchant les anciens patrons d’emporter les machines.
” Le plus dur, changer de mentalité “
En juin 2002, victoire: ils obtiennent le droit de louer les locaux. Plusieurs lois favorables aux travailleurs leur permettront par la suite de racheter l’usine, avec un crédit de vingt ans consenti par le gouvernement. En misant sur la qualité et en travaillant au départ jusqu’à seize heures par jour, ils reconquièrent des clients. Résultat: aujourd’hui, chaque travailleur de Ghelco touche 800 euros par mois, trois fois le salaire minimal argentin. Daniel a même pu s’acheter une petite maison.
Certes, tout n’est pas rose dans ce temple du sucre. ” Au début, prendre des décisions en groupe était un casse-tête, reconnaît José. Le plus dur est de changer de mentalité. Certaines attendent toujours d’être contrôlés pour travailler. ” Et Daniel ajoute: ” Nous manquons aussi de connaissances en marketing pour augmenter nos ventes. ” L’usine ne marche qu’à 40% de sa capacité et peine à économiser pour rembourser sa dette.
Pourtant, les ouvriers ne regrettent pas. ” J’étais en dépression. Avoir des responsabilités m’a ressuscité “, confie Daniel. En Argentine, la croissance est d’ailleurs de retour, le taux de chômage a été ramené à 7%, mais des ouvriers choisissent encore régulièrement de récupérer leur usine en faillite, par attachement ou simplement pour vivre sans patron.
Alice Pouyat, à Buenos Aires
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“The future of marketing – understanding value co-creation”
” it is important to understand that in order for a customer to be able to create value for himself the customer needs a whole lot more than just your product or service.”
“Unfortunately most companies consider their jobs done when the product or service is sold. ““in today’s hyper-connected world is the way customers “hire” other customer’s expertise to be able to get their jobs done”
“This is what value co-creation is all about: understanding that there is more to creating value than what your company provides. “
Read it all!
Source: The future of marketing – understanding value co-creation
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Performance, stratégies et social learning
“Un technicien de la performance s’allie avec les clients afin de faire converger les objectifs commerciaux avec les solutions de performance(…). Lorsque que les stratégies organisationnelles s’avèrent floues, il revient alors au consultant en performance de poser les questions amenant plus de clarté dans ces stratégies. Ils peuvent servir alors de médiateurs, voire d’interprète au sein des entreprises et de leurs stratégies. Dans ces rôles-là, il s’illustre comme un « portefeuille vivant de compétences » et non plus comme un « portefeuille d’affaires » (Prahalad & Hamel, 1990).”
“Les solutions en matière d’apprentissage informel apportées par le potentiel de l’entreprise se trouve dans le potentiel des connections et le pouvoir d’atteindre ce qui semble distant.”
… à lire jusqu’au bout!