Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • Transform Your Employees into Passionate Advocates

    In short, we should earn our employees’ passionate advocacy for the company’s mission and success by helping them earn the passionate advocacy of customers. (…)

    1. True ownership by line managers.
    2. Simpler measurement.
    3. Direct feedback from customers.

    (…)

    Loyal, passionate employees bring a company as much benefit as loyal, passionate customers. They stay longer, work harder, work more creatively, and find ways to go the extra mile. They bring you more great employees. And that spreads even more happiness — happiness for employees, for customers, and for shareholders.”

  • “Culture Eats Strategy For Lunch”

    “Employees are actively and passionately engaged in the business, operating from a sense of confidence and empowerment rather than navigating their days through miserably extensive procedures and mind-numbing bureaucracy.”

    Source: http://www.fastcompany.com/1810674/culture-eats-strategy-for-lunch

  • En introduction du Sommet Entreprise 2.0 de ces 7 et 8 février 2012 à Paris

    En introduction du Sommet Entreprise 2.0 de ces 7 et 8 février 2012 à Paris, une analyse de la vision de l’entreprise 2.0 en France.

    Pour s’inscrire c’est toujours possible ; avec le code de réduction e20ambassadorma vous recevez 10% de réduction 😉

    Pour suivre en ligne toutes les interventions avant-pendant-après l’événement, suivez sur twitter le hashtag #e20 ; le compte officiel de l’événement est @entreprise20.

  • Les réseaux sociaux, un outil de motivation et de productivité

    Lle niveau de satisfaction au travail des employés interrogés est plus élevé dans les entreprises qui autorisent l’accès aux réseaux sociaux (63 %), qu’au sein des entreprises qui en restreignent l’accès (41 % de taux de satisfaction).

    (…)


    Avec une formation adaptée, les employés peuvent devenir des porte-parole efficaces pour l’entreprise et contribuer à son développement commercial ainsi qu’à la valorisation de l’image de marque. En effet, plus de la moitié des employés (57 %) qui ont reçu une formation spécifique à l’usage des réseaux sociaux sont susceptibles de diffuser des messages positifs sur l’entreprise – contre seulement 36 % des employés qui n’ont pas reçu de formation.

    (…)

    Les entreprises interrogées déclarent utiliser les réseaux sociaux à des fins promotionnelles (66 %) et de développement commercial (62 %) ou encore pour améliorer la relation client (59 %) et valoriser leur image de marque (59%), mais aussi dans le cadre du recrutement (58 %) et du développement de l’innovation (57 %).
     
    Si l’utilisation des réseaux sociaux dans l’entreprise continue de susciter quelques craintes, les risques sont clairement compensés par de nombreux avantages : en effet, 80 % des entreprises qui ont déployé une stratégie ont constaté un bénéfice réel des réseaux sociaux sur leur activité : près de 9 répondants sur 10 évoquent le partage des connaissances (88,8%) et l’amélioration du bien-être au travail (86,9%), plus de 80 % déclarent cultiver leur réseau relationnel (85 %) et générer des gains de productivité (82 %), et ils sont 79 % à indiquer que le profil public de leur société a été amélioré grâce à la participation des employés.

  • Piracy is part of the digital ecosystem

    The sue-them-untill-they-die approach is mostly a US-centric one. It will never yield great results (aside from huge legal fees) due to the decentralized nature of the internet (there is no central servers for BitTorrent) and to the tolerance in countries in harboring cyberlockers.”

    The choice between pirated and legit content is a combination of ease-of-use, pricing and availability on a given market. For contents such as music, TV series or movies, services like Netflix, iTunes or even BBC iPlayer go in the right direction. But one key obstacle remains: the balkanized internet (see a previous Monday Note Balkanizing the Web), i.e. the country zoning system. By slicing the global audience in regional markets, both the industry (Apple for instance) and the local governments neglect a key fact: today’s digital audience is getting increasingly multilingual or at least more eager to consume contents in English as they are released. Today we have entertainment products, carefully designed to fit a global audience, waiting months before becoming available on the global market. As long as this absurdity remains, piracy will flourish. As for the price, it has to match the ARPU generated by an advertising-supported broadcast. For that matter, I doubt a TV viewer of the Breaking Bad series comes close to yield an advertising revenue that matches the $34.99 Apple is asking for the purchase of the entire season IV. Maintaining such gap also fuels piracy.”

  • 14/02/12 Manager ou animer à distance ? à Lille (ou à distance!)

    Mon correspondant Xavier de Mazenod m’a fait part de l’organisation d’un événement qui pourrait s’avérer très intéressant: un Barcamp sur le management à distance, ce 14 février à Lille.

    Evidemment, en bonne conscience professionnelle, il sera aussi possible d’y participer à distance!

    Il faut dire que Xavier, le télétravail c’est son dada. J’en profite d’ailleurs pour faire la promotion de son blog communautaire: ZeVillage.net, une mine d’informations et de réflexions pour ceux qui s’intéressent au sujet de la délocalisation vers la campagne, à temps plein ou à temps partagé.

  • La communication interne jugée déconnectée de la réalité de l’entreprise

    L’enquête révèle en effet que la communication qui vient d’en haut apparaît loin des préoccupations des salariés et déconnectée de la réalité du terrain. Ainsi, seuls 41 % des salariés non-managers déclarent que l’entreprise répond à leurs préoccupations (contre 76 % des managers). Et seule la moitié des salariés fait confiance à sa direction (communication, RH ou générale) pour l’informer, alors qu’ils sont 82 % à faire confiance à leurs collègues.”

    Une histoire de structures trop grandes?

  • 7-8 février 2012: Entreprise 2.0 Summit à Paris

    Media Partners Entreprise 2.0 SummitJ’ai eu l’honneur d’avoir été invitée à devenir Ambassadrice pour le Sommet de l’Entreprise 2.0 début février à Paris.

    Avec plusieurs compagnons de notre groupe de travail Entreprise Collaborative, nous nous étions rencontrés fin 2010 à Francfort pour la deuxième édition de cet événement. J’en avais d’ailleurs tiré mes conclusions .

    Je m’apprête à réserver train et hôtel, donc si vous voulez covoyager, n’hésitez pas à prendre contact! J’ai même le privilège de pouvoir vous communiquer des codes de réduction 🙂

    Le programme est ici

  • UBS: un établissement publique sauvé, une monnaie préservée et un gain financier pour le contribuable

    ” Après avoir volé au secours du célèbre établissement de crédit USB en 2008 en signant un très gros chèque, la Confédération helvétique vient de gagner sur tous les tableaux:

    • un établissement financier sauvé du naufrage grâce à une bad bank publique,
    • une monnaie préservée
    • et, au bout du compte, un gain financier pour le contribuable.

    Trois ans après sa mise en place, la banque poubelle d’UBS, pudiquement baptisée StabFund, laisse espérer une plus-value potentielle pour les citoyens helvètes de 4 milliards de francs suisses (3,2 milliards d’euros) sur la foi des calculs réalisés par la Banque nationale suisse et le professeur d’économie genevois Cédric Tille. (…)

    Dans la précipitation du sauvetage, les autorités suisses gardent leur sang-froid et préparent le coup d’après. Un modèle du genre, à mi-chemin entre le deal d’un grand banquier genevois et le contrat social du non moins Genevois Jean-Jacques Rousseau.

    Une prise de participation rapidement rentable

    La Suisse consent d’abord à prendre 10% du capital d’UBS pour apporter de l’argent frais. En pleine tourmente boursière, l’Etat s’introduit dans la banque à prix d’ami et revendra sa participation dix mois plus tard, avec 20% de gain à la clé.

    Ensuite et surtout, la banque centrale de la confédération accepte, par l’entremise du StabFund, de racheter à UBS ses 40 milliards de dollars d’actifs toxiques. Mais en échange , ladite banque sauvée des eaux doit mettre une partie de son capital au pot de la bad bank. Les autorités suisses partagent ainsi le risque de mauvaise fortune avec UBS.

    L’Etat privatise les pertes et nationalise les gains

    Reste la partie la plus difficile à jouer pour la bad bank, à savoir la liquidation du portefeuille farci de crédits hypothécaires douteux, de produits dérivés abscons et d’étrangetés financières. (…)

     ” Nous avons racheté les actifs au prix le plus bas proposé par les différentes estimations, mais nous avons surtout obtenu que les premières pertes soient absorbées en priorité par la Banque UBS “, explique Vincent Crettol [ndlr: directeur adjoint du StabFund pour le compte de la très rigoureuse banque centrale]. Un coup de maître: comme la bad bank fait ses débuts dans un contexte financier déplorable, elle cède en 2009 ses piles de mauvais crédits avec des moins-values… absorbées par la participation d’UBS. Ensuite, à la faveur d’une accalmie sur les marchés, le StabFund vend plus cher et engrange des gains (1,7 milliard de dollars en 2010)… pour le compte cette fois de la Banque nationale suisse en priorité. Au pays du grand capital, l’Etat privatise donc les pertes et nationalise les gains. (…)

     ” Les politiques helvétiques se montrèrent inflexibles avec leurs banquiers au début du montage, puis les laissèrent tranquilles pour liquider les actifs. (…)

    Un portefeuille public géré par des traders

    En effet, propriété officielle de la Banque nationale suisse, le portefeuille de la bad bank n’est pas entre les mains de quelques hauts fonctionnaires fédéraux, mais dans celles des traders d’UBS à New-York. Ironie de l’histoire, les imprudents concepteurs de ces portefeuilles nauséabonds doivent aujourd’hui patauger dans les remugles pour les liquider. (…) ” C’est une question de logique. Après tout, ce sont eux qui connaissent le mieux leurs produits “, explique Vincent Crettol. Pour donner à ces “traders publics” du coeur à l’ouvrage, il serait prévu de leur verser des bonus indexés sur leurs performances soit, sur la réparation de leur propre erreur. “

    1,4 plus values + 0,9 d’intérêts + 2,2 valorisation = 4,5 milliards de dollars

  • Le modèle français doit être refondé

    “A défaut d’un modèle introuvable – car chaque pays ne peut se réformer qu’en tenant compte de son histoire, de sa géographie, de ses structures et de ses atouts -, quelques principes émergent:

    • la nécessité de définir une stratégie de long terme;
    • la mobilisation des forces vives de la nation;
    • la supériorité des thérapies de choc sur les mesures graduelles.

    La priorité doit donc aller à la conversion du modèle de croissance à crédit à travers la réhabilitation de la production, du travail, de l’investissement et de l’innovation. L’urgence va à la reconstitution d’un appareil productif compétitif dans la mondialisation, ce qui implique un effort conjoint sur les coûts et sur la productivité à long terme.

    L’impératif de production va de pair avec la remise sous contrôle des finances publiques. La France doit assumer une stratégie de rigueur qui articule une forte baisse des dépenses publiques, leur réorientation vers l’investissement (justice notamment), enfin, une hausse modérée des impôts acquittés par les ménages. L’effort porte sur 100 à 120 milliards d’euros d’ici à 2016; il doit être effectué à hauteur de 80% par des baisses de dépenses, et à hauteur de 20% par des privatisations.

    La lutte contre le chômage permanent constitue le troisième levier. L’urgence commande de mettre un terme à l’envolée des coûts du travail. D’où la maîtrise des dépenses de protection sociale et le basculement d’une partie de leur financement vers la fiscalité – notamment via le relèvement de la CSG et l’élargissement de son assiette aux pensions de retraite.”