Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • More Than Six Million Students Learning Online

    “Over 6.1 million students were taking at least one online course during the fall 2010 term, an increase of 560,000 students over the previous year.Thirty-one percent of higher education students now take at least one course online.(…)
    65% of higher education institutions now say that online learning is a critical part of their long-term strategy.”

    Source: More Than Six Million Students Learning Online, Study Finds

  • Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

    ““Conséquence : les semences de ferme, jusqu’ici tolérées, sont désormais légalisées… à condition de verser une “rémunération aux titulaires des COV” – à savoir aux entreprises de semenciers –, “afin que soit poursuivi le financement des efforts de recherche et que les ressources génétiques continuent d’être améliorées”, dit le texte de loi. En sont exemptés les petits agriculteurs produisant moins de 92 tonnes de céréales.”

    “” sa récolte peut  entraîner  des variations dans l’espèce, et donc  favoriser cette biodiversité, nuance Guy Kastler.  “Des caractères nouveaux apparaissent, permettant à la plante d’être mieux adaptée au sol, au climat, aux conditions locales. Il est alors possible de réduire les engrais et les pesticides. A l’inverse, les semenciers adaptent les plantes aux engrais et aux pesticides, qui sont partout les mêmes.”Ils tendraient donc plutôt & créer de l’uniformité dans les plantes, où qu’elles soient cultivées.”

    Dans les commentaires:
    “Agriculteurs, les semences, vous les payez avec votre argent. Elles deviennent votre propriété selon les lois du commerce. Vous en faites ce que vous voulez. Point barre. Encore cet UMP qui comme toujours roule pour la Puissance de l’Argent. Basta ! Semez, récoltez. Vous travaillez pour vous. Ce que vous récoltez est à vous et vous êtes libres d’en faire ce que vous voulez.”

    Source: Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

  • Le co-sourcing: variante élargie du skill-pooling

    “Dans le monde du football, lorsqu’un joueur est peu (ou pas) utilisé par son club, il n’est pas rare de le voir prêté à un autre club jusqu’à la fi n de la saison plutôt que de le laisser végéter plusieurs mois sur le banc des remplaçants. Le co-sourcing n’est rien d’autre que la transposition de ce dispositif au monde de l’entreprise.

    Une société ne pouvant plus fournir du travail à l’ensemble de son personnel décide de mettre temporairement les talents d’un ou plusieurs de ses collaborateurs au service d’une autre entreprise. Une formule similaire dans ses fondements au skill-pooling mais dont la cible est plus large en terme d’âge.

    D’un point de vue théorique, le dispositif présente des avantages pour les différentes parties prenantes : l’entreprise prêteuse évite le licenciement d’un de ses travailleurs (et par conséquent la perte d’un talent) tout en réalisant une économie de coût ; l’entreprise emprunteuse trouve réponse à un besoin temporaire et jouit du savoir-faire d’un travailleur expérimenté ; le travailleur conserve son emploi et voit dans cet échange l’opportunité d’enrichir son bagage professionnel.

    La première expérience belge de co-sourcing a été initiée en 2009, par USG People au travers de son agence Unique Interim de Mons. L’agence entendait alors se positionner comme un intermédiaire permettant à l’offre et la demande de se rencontrer. 

    Le projet s’était concrétisé par un échange entre 2 entreprises wallonnes : AW Europe (constructeur dans le domaine des systèmes de navigation intégrés et de boîtes de vitesses automatiques pour l’automobile) et Taquin (créateur et fabricant de mobilier commercial). 

    Touchée par la crise, cette dernière avait par ce biais mis l’un de ses employés au service d’AW Europe. Une décision prise en accord avec le syndicat de l’entreprise. Bien que cette initiative ne soit pas restée isolée, le co-sourcing n’a pas encore pris d’ampleur véritable dans notre pays. Un constat sans doute imputable à la difficulté de faire coïncider sureffectif et besoin temporaire dans une zone géographique acceptable.”

  • The future of work

    “Le Future of Work est une nouvelle vision du travail et des  processus de travail. Il s’agit d’une culture basée sur la confiance, la reconnaissance et l’autonomie, qui induit des travailleurs plus concernés et motivés et donc une plus grande productivité et de meilleurs résultats. Le Future of Work commence aujourd’hui.”

    Source: SD Worx: The future of work

  • Le CNRS va céder 1 000 brevets aux PME/PMI

    “Juridiquement, les brevets ne peuvent être cédés gratuitement, aussi la PME qui voudrait en devenir propriétaire devra s’acquitter d’un prix plutôt modique auprès du CNRS, qui n’excédera jamais les 5 000 euros.”

    Source: Le CNRS va céder 1 000 brevets aux PME/PMI !

  • Trois PME sur cinq comptent rechercher un financement d’ici à 2013

    “La construction et l’industrie sont les secteurs où la recherche d’un financement est la plus fréquente : en 2010, elle concerne 57 % des PME d’au moins dix personnes dans la construction et 54 % dans l’industrie. Mais c’est dans les services liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC) que cette proportion a le plus progressé entre 2007 et 2010 (+ 13 points contre + 9 points en moyenne), atteignant 48 % en 2010.”
    Source: http://www.chefdentreprise.com/Breves/En-2010-la-moitie-des-PME-d-au-moins-dix-personnes-ont-recherche-un-financement-42590.htm

  • Fidélisation des salariés : objectif numéro un des TPE et des PME

    “Si les dirigeants restent inquiets face à la crise, 87 % d’entre eux  souhaitent mettre toutes les chances de leur côté et préserver, coûte que coûte, la motivation de leurs collaborateurs.”

    Source: http://www.chefdentreprise.com/Breves/Fidelisation-des-salaries-objectif-numero-un-des-TPE-et-des-PME-42633.htm

  • Le “consommer local” se généralise et devient une tendance chez la majorité des Français.

    “Aujourd’hui les deux tiers des Français estiment que les denrées locales restent plus coûteuses que les autres. Cette perception est cependant moins marquée chez les consommateurs réguliers qui ne sont que 56 % à penser que ces produits sont plus chers.”

    Source: http://www.chefdentreprise.com/Breves/Le-consommer-local-aiguise-l-appetit-des-Fran-ais-42544.htm