Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • Invitation de Microsoft à découvrir la Surface 3 Pro

    La Surface 3 Pro: un véritable outil de travail

    Microsoft m’avait prêté une Surface 2 en début d’année, et j’en étais restée peu convaincue. La Surface 3 Pro apporte une amélioration essentielle: un clavier vraiment utilisable en mode travail. Ce qui fait de ce nouveau modèle un vrai concurrent à mon MacBook Air. Certes, il m’est toujours un peu compliqué de retenir les manipulations de raccourci de Microsoft, mais il me semble qu’on peut s’y faire avec quelques jours/semaines d’utilisation.

    Une autre nouveauté: le stylet. Il permet de prendre directement des notes manuscrites dans OneNote, et de réaliser des copies d’écran précises.
    Il est aussi d’une grande aide pour naviguer sur les sites web non optimisés, en mode tablette (comme Amazon!).

    Ce que je retiendrai de la Surface 3 Pro:

    • excellent rapport qualité-prix
    • quasi aussi léger que mon MacBook Air, mais avec une bien meilleure mémoire!
    • différentes options de synchronicité avec les autres appareils Microsoft 8.1: smartphone et ordinateur

    La Surface pour les enseignants et les étudiants: un bon investissement

    On m’a demandé de former les enseignants à intégrer les tablettes à leurs outils pédagogiques ; je me suis donc particulièrement renseignée à ce sujet.

    La Surface 3 Pro possède pour les enseignants plusieurs atouts face à ses concurrents:

    • Il est possible de séparer complètement les comptes enseignant et élève d’une même Surface. L’appareil du professeur peut donc être utilisé par les étudiants sans risquer d’en altérer les données.
    • La Surface 3 Pro est aussi un véritable ordinateur, qui comporte toute la suite Microsoft Office, généralement déjà connue et utilisée par les enseignants.
    • Ses données peuvent être synchronisée en partie ou entièrement avec la session de l’enseignant sur les ordinateurs de l’école, ou sur le sien à la maison.

    Le descriptif officiel de la Surface 3 Pro
    Offres spéciales pour les étudiants

  • 04/12/2014 mon output de la conférence sur le coworking

    Organisée par le Parlement Européen, cette conférence a eu le bon goût d’inviter nos stars du coworking, à savoir Jean-Yves Huwart et Ramon Suarez.

    Neelie Kroes introduit les débats:

    Europe does not have  a Silicon Valley, and does not need one.
    I want to support you, but I need to know what you need and how.

     

    Jean-Yves Huwart rappelle que le premier espace de coworking a été créé en 2005 à San Francisco. Auujourd’hui, la moitié des espaces de coworking mondiaux sont en Europe.

    Motorola (racheté par Google) a emménagé au-dessus d’un espace de coworking du centre ville de Chicago, afin de se connecter à l’énergie générée par la communauté.

    Les grandes entreprises diminuent en taille, les communautés d’indépendants croissent.
    Le coworking peut parfois grandir comme une réponse spécifique aux demandes de certains publics: comme du coworking autour des assurances santé à Toronto. Les espaces de coworking deviennent des entreprises “micro-multinationales”.

    Les mouvements bottom-up en Europe ont réussi à générer le lancement de 140 programmes d’accélérations de startups, et la création de 1600 espaces de coworking.

    Jean-Yves Huwart:

    Le coworking rend visible ce qui se passe sur Internet.

    87% des coworkers ont démarré un projet avec d’autres coworkers. Le coworking peut contribuer à la relance de l’économie européenne.

     

    Claudio Vandu prend ensuite la parole. Il est le cofondateur de l’espace de coworking Silicon Sentier, créé en 2003 à Paris, sous la forme d’une collaboration Public-Privé-Crowdfunding.

    Aujourd’hui, Silicon Sentier mute en NumaParis et emménage dans 1600m2, en ajoutant à son espace de coworking un accélérateur, un espace de travail ouvert, une grande salle de réception, et un fablab.
    Les besoins de NumaParis: du financement agile et l’acceptation du principe de sérendipité.

     

    Panni Klementz, fondateur de l’espace de coworking LOFFICE à Budapest. Elle a expliqué le mode de fonctionnement de son espace, avant de conclure:

    Coworking is collaborating with like-minded people.

     

    Ramon Suarez, fondateur du Beta Cowork à Bruxelles, termine les débats en répondant à Neelie Kroes:

    Our needs are: please do things on demand!

    Le contexte de la conférence, raconté par le Beta Cowork: http://www.betacowork.com/the-voice-of-coworking-2/

  • L’économie de la presse: un modèle sans vision numérique?

    Aujourd’hui, il reste toujours difficile de configurer une tablette pour faciliter le partage de sa veille avec ses publics en ligne.

    D’un côté il est possible de partager des articles gratuits, de l’autre il est impossible de partager, et donc de promouvoir, le contenu payant.

    Il serait vraiment utile de permettre la sélection/copier-coller/partager d’un extrait (limité) d’article avec lien vers l’article en ligne, qui lui serait payant ET achetable à l’unité.
    Sur le site web du magazine, donner accès à une version abonnés du magazine, partageable de la même manière limitée.

    Je trouve néanmoins que l’ajout automatique de l’adresse web de l’article dont est issu la sélection est extrêmement bien trouvé, pour mentionner à la fois la source et la propriété de ce contenu.

  • Février c’est (aussi) le mois de la France pour Orchestraaa

    Orchestraaa est a accompagné le lancement de FARR (Franco Algériens Républicains Rassemblés) pour ses conseils en Intelligence Collective. Férial Furon, la présidente de ce mouvement évoquera sa confiance en notre collectif :

    – lors du gala de lancement de FARR le 6 février 2014, au Pavillon Dauphine, à Paris

    – dans un article à paraître dans Gazelles Magazine

     

    Nous interviendrons le 22 février 2014 à 13h au cinéma Saint André des Arts, dans le 6ème arrondissement de Paris, à l’occasion de la sortie du film de Frédéric Gibilaro, “Mauvaise Réponse” sur le thème des manipulations.

    Nous y animerons une conférence sur comment passer de Manipulation – Censure – Conflits à Liberté – Egalité – Fraternité. Ce sera l’occasion de vous exposer pourquoi et comment nos dirigeants français peuvent développer l’efficacité de leurs entreprises en s’engageant dans l’Intelligence Collective.

    Venez nous y retrouver…

  • Orchestraaa Programme Presse 2.0

    La presse écrite est en pleine crise: Internet bouscule entièrement ses modes de financement traditionnels, et nombreux sont les titres de presse en train de se noyer dans le tournant numérique.

    Les journalistes de presse expérimentés voient leur travail peu valorisé et le résultat qualitatif pour les lecteurs décroit trop souvent.

    Certains de ces journalistes profitent du web pour tenter de lancer leur propre média. Mais évidemment, le journalisme et la création d’un organe de presse viable sont deux métiers différents.

    Pour leur apporter des conseils de professionnels, nous avons créé le Programme Presse 2.0.

    Dans ce programme, nous accompagnons ces nouveaux entrepreneurs :

    • en optimisant leur proposition commerciale, à destination des lecteurs et des annonceurs.
    • en facilitant la mutualisation des moyens, techniques et commerciaux, grâce à des partenaires spécialisés.
    • en les éveillant aux enjeux de l’évolution de la communication web et des réseaux sociaux.
  • Et si j’ai envie de devenir un e-ermite?

    Pas de souci, certains vont vous faciliter la tache, avec une plateforme centralisant tous les liens pour se désinscrire des plateformes en ligne et des réseaux sociaux: http://justdelete.me/

  • Why do startups die?

    Failure #1: “I had the Next Big Thing”
    An idea has no value as such.

    Failure #2: “we were considered the leader”
    Never overestimate the competition.

    Failure #3: “We thought, ‘We’ll attack this problem a few years before Microsoft and Oracle notice it and recognize it as a problem.’”
    Never underestimate big companies resources.

    Failure #4: “We would’ve spent another three months head down developing it, without a business model or any way to keep paying the rent…”
    Developing without any conversion idea is worthless. No money, no future.

    Failure #5: “The business decision to focus on technology and avoid building a consumer application had a significant impact [on the eventual failure].”
    Technology has no bank account.

    Failure #6: “My billion dollar idea was described as “tired” and “annoying’”
    Long lasting fun is the best way to sell.

    Failure #7: “Issues with money, traction, team, and vision”

    Failure #9: They gave away a service for free, and ran out of cash to pay the bills
    Seriously?

    Read more: http://www.businessinsider.com/33-startups-that-died-reveal-why-they-failed-2013-6?op=1#ixzz2aKvLdmQd

  • La ligne éditoriale de votre (personal) branding

    En donnant mes formations sur l’e-réputation, je me suis rendue compte qu’il n’existait pas de ressource “simple” expliquant ce que devait comporter une ligne éditoriale à destination d’une e-réputation ou d’un personal branding. Tous enrichissements sont les bienvenus.

    La ligne éditoriale définit le type de communication de chaque e-canal, dans le cadre de vos objectifs de e-réputation.

    Vous devez mentionner pour chaque e-canal:

    • son objectif de communication,
    • son positionnement par rapport aux autres e-canaux,
    • les types de contenus publiés:
      • articles, photos, vidéos, sons,
      • contenus propres, contenus relayés (manuellement, automatiquement, de quelle provenance), contenus commentés,
      • avec quel ton, selon quel style d’expression

    EDIT

    La ligne éditoriale précise également de manière pratique le format, le ton, et la fréquence de son expression. Elle est un des éléments de la charte éditoriale.

     

  • A chaque génération son boulot

    Quand ma grand-mère de 88 ans s’inquiète pour mon avenir, alors qu’elle a vécu la Seconde Guerre Mondiale… je me dis que nos soucis économiques ne sont que des petits cailloux dans nos chaussures (des chaussures sans trous, contrairement à celles de beaucoup d’enfants pendant la guerre).

    Pour la rassurer, j’ai mis en perspective nos difficultés: oui, ce n’est pas facile. Mais pour quelle génération, la vie a-t-elle vraiment été facile? Faut-il que nous ayons à détruire puis à reconstruire notre pays, pour que nous puissions être fiers d’une croissance telle quelle était dans les Trente Glorieuses?

    Au final, je me rends surtout compte que, nous aussi, nous devons surtout nous remonter les manches, et que c’est avoir une vision de l’Histoire un peu courte que de se dire que nous n’avons pas de chance. Arrêtons de nous reposer sur les lauriers des autres, et hop, au boulot!