Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • Ne plus avoir peur, grâce à l’hygiène de surf

    Technocité, sous contrat avec Le Forem, m’a permis de donner plusieurs formations à un même groupe de demandeurs d’emploi sur l’e-réputation, les réseaux d’entreprise, et le micro-blogging professionnel via Twitter.

    Grâce à l’ouverture d’Orchestraaa, j’ai pu comprendre d’où venaient les blocages auxquels je faisais régulièrement face dans mes formations. Certes, j’ai toujours pu compter sur mon enthousiasme pour arriver à convaincre les plus réticents, mais mon argumentaire relevait peut-être un peu trop souvent de la méthode Coué que de les amener à un travail de conviction profonde.

    Grâce à ma collaboration avec Patricia Soumarmon, j’ai compris que ces blocages venaient la plupart du temps de la peur de l’inconnu, de la peur véhiculée par les cas exceptionnels relatés par les grands médias. Et j’ai pris le problème à bras le corps: la peur, ça se gère.

    J’ai déjà repris ailleurs comment gérer cette peur. Néanmoins l’une d’elle, c’est l’hygiène de surf.

    “Hygiène de surf” est une vieille expression de blogueurs. Quand on surfe, il y a effectivement des bonnes habitudes à prendre:

    • pour éviter de télécharger des virus, des chevaux de Troie (trojan),
    • pour éviter de relayer des fausses informations (hoax),
    • pour éviter de se faire voler ses données et ses codes d’accès (fishing),
    • pour éviter de se faire voler son identité numérique,
    • pour ne pas se faire squatter sa connexion internet,
    • etc.

    Heureuse que je suis, un trio de participants à mes formations a bien accroché à ce principe, et ont développé le blog Hygiène2Surf.wordpress.com Longue vie à leur initiative!

  • Interview vidéo: la RueDuWeb pour EnterprizeTV

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=aRqyBdmx9x4]

  • Orchestraaa: de la SPRL pyramidale au collectif de spécialistes

    En 2010-2011, ma société, anciennement Journaliste-web.be, devenue CommunicationWeb.be pour arrêter d’être perçus comme des pondeurs de textes, s’est trouvée à la croisée des chemins:

    • d’un côté nos employés produisaient pour les marques du contenu web de grande valeur économique, mais trop peu exploité commercialement par celles-ci,
    • de l’autre d’autres sociétés, plus grandes et plus compétitives, nous demandaient de les accompagner dans les évolutions expérimentales compétitives du 2.0.

    (more…)

  • #spreadlove

    J’expérimente depuis longtemps le positivisme, et ses effets sur la création de valeur: l’encouragement des clients et des employés, la formulation constructive et positive des critiques et des remarques, les propositions proactives de produits et services… sont autant de leviers “gratuits” à l’augmentation de la productivité, à la fidélisation des clients, à l’émergence d’une intelligence collective bénéfique pour tous.

    (more…)

  • “Dès qu’un groupe atteint une certaine taille, il lui faut fonctionnellement s’organiser…”

    Comme l’expliquent François Balta et Gérard Szymansky : « Une entreprise comme toute institution sociale se caractérise par une distribution pré-définie des tâches, des rôles et des pouvoirs. Il s’agit d’une structure hiérarchisée avec métaphoriquement une base et un sommet. Historiquement, bien des tentatives ont été faites pour réaliser des structures sans hiérarchie. (more…)

  • Orchestraaa: pour la création de synergies

    Orchestraaa permet aux leaders d’expérimenter la New Way of Working, en en maîtrisant les risques, en réassignant les rôles, et en développement l’intelligence collective.

    Au sein de ce collectif, je travaille particulièrement avec Patricia Soumarmon sur l’accompagnement des leaders dans la création de synergies.

    Patricia Soumarmon est Médiatrice, elle travaille sur les talents, la motivation, sur les conflits et avec le dialogue. Marina Aubert est Activatrice, elle travaille sur les opportunités, sur l'agilité, sur les crises et dans l’environnement sécurisé du laboratoire. Ensemble, elles transforment le désengagement, en engagement, puis en expérimentations et enfin en intelligence collective. Elles accompagnent la maîtrise des risques à partir des peurs et des défiances et la réassignation des rôles au sein des entreprises.

    Je me concentre sur l’image des individus et de l’entreprise. J’axe mes interventions sur:

    • les outils de gestion des risques en communication,
    • le personal branding et l’e-réputation,
    • l’e-com mentoring.

    En savoir plus sur Patricia Soumarmon
    En savoir plus sur Orchestraaa

  • Eduquer à la joie

    Chacun de nous recèle un don, un talent inné qui, s’il est respecté et honoré, nous transformera en être humain heureux, en contact avec sa joie de vivre, en accord avec lui-même et avec les autres.  L’éducation a le devoir de reconnaître ce trésor, de le révéler et d’aider chaque personne à le développer.

    Et si on essayait de voir les choses de manière positive?
    Et si on tentait de percevoir dans chaque événement l’aspect constructif des choses?
    Et si on travaillait à améliorer un peu chaque jour nos situations individuelle et de groupe?

    Cela fait maintenant bientôt 2 ans que je n’écoute plus ni ne regarde les informations des grands médias: ni journaux télévisés, ni nouvelles radiodiffusées. Comme promu par Tim Ferris, je laisse à mon cercle social le soin de m’informer de ce qui se passe de plus important dans le monde.
    En général via la lecture d’articles journalistiques (en ligne) de qualité… ou via les critiques d’événements publics provenant de Facebook ou de Twitter. 

    Depuis lors, je me rends compte que mon entourage a peur de tout, en veut “aux puissants”, “aux chômeurs”, “aux politiques”, “aux Chinois”, etc. Bref, les médias surfent sur la peur pour vendre, divisent pour mieux régner, et nous, pauvres moutons bien pensants, nous les écoutons religieusement…
    Depuis lors, je suis moi surtout nettement moins stressée. Car après tout, pourquoi s’angoisser pour des choses sur lesquelles nous n’avons de toute façon jamais aucune prise?

    Et je continue mon petit bonhomme de chemin, construisant dans ma vie professionnelle la collaboration des équipes, l’ouverture aux idées et la reconnaissance des talents, et développant dans ma vie privée des projets joyeux et enthousiasmants.

    What else?

    Source: Eduquer à la joie

  • Why do startups die?

    Failure #1: “I had the Next Big Thing”
    An idea has no value as such.

    Failure #2: “we were considered the leader”
    Never overestimate the competition.

    Failure #3: “We thought, ‘We’ll attack this problem a few years before Microsoft and Oracle notice it and recognize it as a problem.’”
    Never underestimate big companies resources.

    Failure #4: “We would’ve spent another three months head down developing it, without a business model or any way to keep paying the rent…”
    Developing without any conversion idea is worthless. No money, no future.

    Failure #5: “The business decision to focus on technology and avoid building a consumer application had a significant impact [on the eventual failure].”
    Technology has no bank account.

    Failure #6: “My billion dollar idea was described as “tired” and “annoying’”
    Long lasting fun is the best way to sell.

    Failure #7: “Issues with money, traction, team, and vision”

    Failure #9: They gave away a service for free, and ran out of cash to pay the bills
    Seriously?

    Read more

  • 2009-2013: 4 ans de construction de la RueDuWeb

    Cela fait déjà 4 ans que ce collectif existe, et pourtant ce n’est que maintenant que je prends le temps de documenter la construction de ce collectif. Un besoin de jeter un oeil dans le rétroviseur pour pouvoir mieux me projeter en avant? (more…)

  • 29/10/2013: mon output de l’atelier de la Feweb sur l’ergonomie et le wireframing

    Préambule

    L’ergonomie et l’expérience utilisateur sont des sujets qui m’ont toujours passionnée, bien que je ne comprenne pas vraiment la différence entre ces dénominations trendy et mon quotidien de communicante web.

    Grâce à cette soirée, j’ai appris que je réalisais effectivement le travail d’un ergonome web: dans tous les projets dans lesquels je suis impliquée, je travaille dans l’objectif d’une perception utilisateur la plus agréable et la plus fluide possible. Pour ce faire, je mentionne à chaque corps de métier le cadre de communication dans lequel il doit s’inscrire:

    • par des listes de points spécifiques à satisfaire, en termes de design et de fonctionnalités,
    • par un mindmap détaillé des contenus des différentes pages de navigation (à la place d’un wireframe low-fidelity, cf. plus bas), des différents menus et parties du site web (ou intranet),
    • par un wireframe high-fidelity (cf. plus bas), déjà complété des textes et contenus finaux (construits en atelier de travail, directement avec le client), afin de mentionner précisément la hiérarchisation des contenus rédactionnels et visuels.

    Je remercie donc la Feweb et les intervenants de m’avoir permis de préciser mon métier à la lumière de leurs explications et de leurs témoignages de webdesigners spécialisés.

    NB: L’expérience utilisateur des interfaces web en particulier se résument à l’abréviation Ux dans la littérature professionnelle associée.

    L’événement était co-organisé par la RueDuWeb, un collectif d’entreprises numériques dont Orchestraaa fait partie.

    Les points repris par Benjamin De Cock, webdesigner

    Benjamin mûrit ses designs dans un objectif de fluidité maximale, et de manipulation directement compréhensible par l’utilisateur. Dans cet esprit, il a mentionné:

    • Dans les champs d’un formulaire, utiliser des labels essentiels, minimaux, non invasifs, qui peuvent être renforcés par des icones signifiantes customisées.
    • Réduire les champs à remplir et les efforts à fournir par l’utilisateur
    • Respecter les habitudes de navigation en fonction de l’OS: croix de fermeture de fenêtre à gauche ou à droite.

    Chaque clic diminue le taux de conversion

    • La vérification des identités par sms est plus efficace qu’un mot de passe… Le mot de passe est toujours plus difficile à retenir et à gérer par l’utilisateur.
    • Indiquer le processus étape par étape (même fictivement), permet à l’utilisateur de comprendre qu’il doit attendre que le processus soit terminé avant d’entamer l’étape suivante.
    • Le sms de vérification doit être court pour apparaître entièrement sur la notification, et contenir le code de vérification en fin de message, en call-to-action.
    • La géolocalisation de l’utilisateur lui permet d’encoder directement son numéro de téléphone, sans avoir à passer par l’étape de sélection du préfixe international.
    • De manière générale, il est bon de préremplir automatiquement les champs avec les informations que nous pouvons récupérer automatiquement. Mais évidemment, tous les champs restent éditables.
    • Chaque champ de formulaire est animé de manière autonome, afin de permettre la transformation directe du reste du formulaire, en fonction des options de remplissage.

    Les points repris par Nathalie Gouzée, directrice artistique et webdesigner

    De l’intervention de Nathalie, j’ai surtout retenu son explication des différents types de wireframes:

    • Le wireframe sketch /moodboard, dessiné à la main, à usage interne, limité en terme de versioning.
    • Le wireframe low-fidelity ou zoning (en France), renforcé de commentaires (post-it), afin de mesurer les interactions entre les pages.
    • Le wireframe high-fidelity ou prototype fonctionnel (en France), qui respecte les contenus et les proportions; à faire en collaboration avec le graphiste.

    Nathalie recommande de prévoir des annotations reprenant les différentes recommandations (SEO…) afin de faciliter les développements ultérieurs. Elle travaille avec invisionapp.com pour le wireframing et le versioning.

     

    Les détails de l’événement