Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • La richesse des rencontres professionnelles

    Je considère la richesse des rencontres effectuées dans la cadre professionnel comme un avantage en nature.
    Sandro Faiella
  • Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres.

    Je reste perplexe sur ces web entrepreneurs partis outre-atlantique vivre le rêve américain, qui reviennent régulièrement, via leurs blogs ou via la presse, cracher sur l’économie européenne.
    Comme si l’Europe ne faisait rien pour stimuler la créativité et l’innovation, comme si l’Europe n’affichait pas la meilleure productivité au monde, comme si l’Europe ne présentait pas parmi les meilleurs chiffres de protection sociale au monde.

    Alors certes, la Silicon Valley est aux Etats-Unis, et nulle part ailleurs.

    Mais dois-je rappeler que ce pays-continent est unilingue, parce que les populations autochtones ont été décimées par les envahisseurs (européens)?
    Faut-il rappeler qu’il bénéficie largement de la fuite des cerveaux des pays qui, eux, investissent vraiment dans l’enseignement de qualité pour tous?

    Comme dit ma mère: ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres…

  • Ne plus avoir peur, grâce à l’hygiène de surf

    Technocité, sous contrat avec Le Forem, m’a permis de donner plusieurs formations à un même groupe de demandeurs d’emploi sur l’e-réputation, les réseaux d’entreprise, et le micro-blogging professionnel via Twitter.

    Grâce à l’ouverture d’Orchestraaa, j’ai pu comprendre d’où venaient les blocages auxquels je faisais régulièrement face dans mes formations. Certes, j’ai toujours pu compter sur mon enthousiasme pour arriver à convaincre les plus réticents, mais mon argumentaire relevait peut-être un peu trop souvent de la méthode Coué que de les amener à un travail de conviction profonde.

    Grâce à ma collaboration avec Patricia Soumarmon, j’ai compris que ces blocages venaient la plupart du temps de la peur de l’inconnu, de la peur véhiculée par les cas exceptionnels relatés par les grands médias. Et j’ai pris le problème à bras le corps: la peur, ça se gère.

    J’ai déjà repris ailleurs comment gérer cette peur. Néanmoins l’une d’elle, c’est l’hygiène de surf.

    “Hygiène de surf” est une vieille expression de blogueurs. Quand on surfe, il y a effectivement des bonnes habitudes à prendre:

    • pour éviter de télécharger des virus, des chevaux de Troie (trojan),
    • pour éviter de relayer des fausses informations (hoax),
    • pour éviter de se faire voler ses données et ses codes d’accès (fishing),
    • pour éviter de se faire voler son identité numérique,
    • pour ne pas se faire squatter sa connexion internet,
    • etc.

    Heureuse que je suis, un trio de participants à mes formations a bien accroché à ce principe, et ont développé le blog Hygiène2Surf.wordpress.com Longue vie à leur initiative!

  • Interview vidéo: la RueDuWeb pour EnterprizeTV

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=aRqyBdmx9x4]

  • Orchestraaa: de la SPRL pyramidale au collectif de spécialistes

    En 2010-2011, ma société, anciennement Journaliste-web.be, devenue CommunicationWeb.be pour arrêter d’être perçus comme des pondeurs de textes, s’est trouvée à la croisée des chemins:

    • d’un côté nos employés produisaient pour les marques du contenu web de grande valeur économique, mais trop peu exploité commercialement par celles-ci,
    • de l’autre d’autres sociétés, plus grandes et plus compétitives, nous demandaient de les accompagner dans les évolutions expérimentales compétitives du 2.0.

    (more…)

  • #spreadlove

    J’expérimente depuis longtemps le positivisme, et ses effets sur la création de valeur: l’encouragement des clients et des employés, la formulation constructive et positive des critiques et des remarques, les propositions proactives de produits et services… sont autant de leviers “gratuits” à l’augmentation de la productivité, à la fidélisation des clients, à l’émergence d’une intelligence collective bénéfique pour tous.

    (more…)

  • “Dès qu’un groupe atteint une certaine taille, il lui faut fonctionnellement s’organiser…”

    Comme l’expliquent François Balta et Gérard Szymansky : « Une entreprise comme toute institution sociale se caractérise par une distribution pré-définie des tâches, des rôles et des pouvoirs. Il s’agit d’une structure hiérarchisée avec métaphoriquement une base et un sommet. Historiquement, bien des tentatives ont été faites pour réaliser des structures sans hiérarchie. (more…)

  • Orchestraaa: pour la création de synergies

    Orchestraaa permet aux leaders d’expérimenter la New Way of Working, en en maîtrisant les risques, en réassignant les rôles, et en développement l’intelligence collective.

    Au sein de ce collectif, je travaille particulièrement avec Patricia Soumarmon sur l’accompagnement des leaders dans la création de synergies.

    Patricia Soumarmon est Médiatrice, elle travaille sur les talents, la motivation, sur les conflits et avec le dialogue. Marina Aubert est Activatrice, elle travaille sur les opportunités, sur l'agilité, sur les crises et dans l’environnement sécurisé du laboratoire. Ensemble, elles transforment le désengagement, en engagement, puis en expérimentations et enfin en intelligence collective. Elles accompagnent la maîtrise des risques à partir des peurs et des défiances et la réassignation des rôles au sein des entreprises.

    Je me concentre sur l’image des individus et de l’entreprise. J’axe mes interventions sur:

    • les outils de gestion des risques en communication,
    • le personal branding et l’e-réputation,
    • l’e-com mentoring.

    En savoir plus sur Patricia Soumarmon
    En savoir plus sur Orchestraaa

  • Eduquer à la joie

    Chacun de nous recèle un don, un talent inné qui, s’il est respecté et honoré, nous transformera en être humain heureux, en contact avec sa joie de vivre, en accord avec lui-même et avec les autres.  L’éducation a le devoir de reconnaître ce trésor, de le révéler et d’aider chaque personne à le développer.

    Et si on essayait de voir les choses de manière positive?
    Et si on tentait de percevoir dans chaque événement l’aspect constructif des choses?
    Et si on travaillait à améliorer un peu chaque jour nos situations individuelle et de groupe?

    Cela fait maintenant bientôt 2 ans que je n’écoute plus ni ne regarde les informations des grands médias: ni journaux télévisés, ni nouvelles radiodiffusées. Comme promu par Tim Ferris, je laisse à mon cercle social le soin de m’informer de ce qui se passe de plus important dans le monde.
    En général via la lecture d’articles journalistiques (en ligne) de qualité… ou via les critiques d’événements publics provenant de Facebook ou de Twitter. 

    Depuis lors, je me rends compte que mon entourage a peur de tout, en veut “aux puissants”, “aux chômeurs”, “aux politiques”, “aux Chinois”, etc. Bref, les médias surfent sur la peur pour vendre, divisent pour mieux régner, et nous, pauvres moutons bien pensants, nous les écoutons religieusement…
    Depuis lors, je suis moi surtout nettement moins stressée. Car après tout, pourquoi s’angoisser pour des choses sur lesquelles nous n’avons de toute façon jamais aucune prise?

    Et je continue mon petit bonhomme de chemin, construisant dans ma vie professionnelle la collaboration des équipes, l’ouverture aux idées et la reconnaissance des talents, et développant dans ma vie privée des projets joyeux et enthousiasmants.

    What else?

    Source: Eduquer à la joie

  • Why do startups die?

    Failure #1: “I had the Next Big Thing”
    An idea has no value as such.

    Failure #2: “we were considered the leader”
    Never overestimate the competition.

    Failure #3: “We thought, ‘We’ll attack this problem a few years before Microsoft and Oracle notice it and recognize it as a problem.’”
    Never underestimate big companies resources.

    Failure #4: “We would’ve spent another three months head down developing it, without a business model or any way to keep paying the rent…”
    Developing without any conversion idea is worthless. No money, no future.

    Failure #5: “The business decision to focus on technology and avoid building a consumer application had a significant impact [on the eventual failure].”
    Technology has no bank account.

    Failure #6: “My billion dollar idea was described as “tired” and “annoying’”
    Long lasting fun is the best way to sell.

    Failure #7: “Issues with money, traction, team, and vision”

    Failure #9: They gave away a service for free, and ran out of cash to pay the bills
    Seriously?

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