Marina Aubert

Senior Data Consultant

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  • 13/12/2012 Mon output de la journée Intrapreneurship organisée par Entreprise Globale à Paris

    L’avantage de cette journée, c’est qu’elle m’a permis de confirmer la validité de notre approche: l’innovation demande à l’entreprise de faciliter les rencontres, de canaliser les champs d’action, d’écouter et de faire confiance à ses passionnés.

    If you don't gather the people with ideas, you never make the question and the right answer meet.

    Plusieurs cas nous ont été proposés, tous très intéressants. Merci vraiment à Jean-Yves Huwart pour sa sélection d’intervenants toujours de très grande qualité.

    Petit à petit, notre modèle d’accompagnement de la transition vers l’entreprise collaborative s’affine en s’appuyant sur les expérimentations des uns et des autres.
    Cette transition est lente, mais offre à l’entreprise l’amélioration continue et pérenne de sa productivité et de son innovation.

    L’intrapreneuriat permet de rassembler toutes les conditions pour faire émerger les idées et créer de nouveaux projets économiquement pérennes.

    Un illustration des bénéfices de cette ouverture, avec des science fairs du Microsoft Garage:

    They provide: a deadline, visibility to leadership, recognition, connections & feedback.

    They are: a beginning not an end, a way to close the loop, inspiration to everyone else.

    La courbe d’adoption de l’intrapreneuriat: “ignore, laugh, work against, follow”

    Le programme de la conférence
    Le Storify 

    Pour ceux qui ne connaissent pas encore Jean-Yves Huwart, il a un talent d’intervieweur exceptionnel. Vous pouvez découvrir une partie de son travail sur la chaîne YouTube d’Entreprise Globale.

    EDIT: les slides de la conférence

  • 12/12/2012 Mon output de l’événement CurationB2B labellisé Knowledge Plaza

    Organisé dans le cadre hype du Dupont Café, cet événement sur la curation B2B a donné la parole à des intervenants de choix, dont Scoopit et Pearltrees.

    J’ai raté l’intervention de Pearltrees: elle a été relatée ici.

    Lisibilité de contenu vs droit d’auteurs

    J’ai depuis longtemps un différent avec Scoopit: je n’aime pas le ou les clics qu’ils imposent au lecteur pour consulter un article partagé via leur plateforme. Ca a d’ailleurs été le sujet de plusieurs échanges entre utilisateurs et non-utilisateurs, notamment avec Fred Colantonio.

    La présentation de Scoopit a été animée par Marc, son président.

    J’ai pu discuter avec Marc du point qui m’ennuyait avec son outil: est-ce qu’il ne serait pas possible d’apporter un contenu final directement consultable?
    Sa réponse s’est portée sur les droits d’auteurs: avec ce système de plateforme intermédiaire, l’article final n’est pas pillé. Et la majorité des utilisateurs-partageurs ont confirmé préférer ce système à celui d’un lien direct vers l’article partagé: ils aiment aussi se voir propulsés comme sources de contenu intéressant, ce qui est important pour leur e-réputation et leur personal branding.

    Selon Marc, les auteurs aiment Scoopit qui leur apporte beaucoup de visibilité. Google privilégiant autant les noeuds de relais des contenus, que les contenus originaux. Scoopit agit donc comme tremplin SEO pour les articles originaux.

    Pour moi, le débat lisibilité/navigabilité reste néanmoins ouvert.

    Curation de contenu vs partage des connaissances

     

    Scoopit part aussi du postulat que la curation de contenu est une activité nouvelle, qui demande un intermédiaire filtrant pour pouvoir être mis à la portée de toutes les tailles d’entreprise.

    Si la “curation” (mais que je trouve ce terme ignoble!) est nouvelle, cela implique-t-il que les créateurs de contenus traditionnels ne reprennent jamais des contenus existants ailleurs? Que les revues de presse n’ont jamais existé? Que les entreprises n’ont jamais informé leurs clients et partenaires des nouvelles de leur secteur?

    EDIT: Marc m’indique: ” “New rules, new role”, voilà ce que j’ai dit sur la curation. ”

    Bref, je l’avais déjà écrit ici en mars en marge du SXSWi: la curation n’est pour moi qu’un terme hype pour la revue de presse. Rien de nouveau sous le soleil.

    Mon humble avis est que Scoopit présente les choses par le petit bout de la lorgnette.

    Scoopit a le potentiel pour s’intégrer de manière intelligente au panel d’outils des services de communication et de veille des entreprises 2.bientôt.
    Pour les plus grandes, conseillées par des communicants avertis, il semble que ce soit le cas ; et j’espère bien que l’information ainsi glanée, organisée et valorisée est bien réinjectée en interne… grâce à Knowledge Plaza? Pour le reste, je reste persuadée qu’il existe des passionnés partout, aussi dans les petites entreprises. Et celles-ci doivent vraiment apprendre à faire confiance à ces passionnés, leur permettre d’exploiter leurs connaissances pour amener l’entreprise à rayonner dans sa niche (et, souvent, les passionnés feront ça en plus, par plaisir… encore faut-il que leurs efforts soient reconnus, respectés, et valorisés en interne).

    L’intervention pour Knowledge Plaza (que je connais maintenant trop bien) a été décrite ici.

    NB : On me dit dans l’oreillette, qu’il est possible de faire collaborer ces trois outils via Buffer.

     

    Les détails de l’événement
    Le storify de l’événement

    Les solutions présentées à cette occasion:

  • 23/11/2012 Mon output du SAP Inside Track Belgium 2012

    Martin Gillet est un mentor SAP belge très actif en ligne. Après son invitation manquée l’an dernier, j’ai enfin pu participer à sa réunion ouverte de cette année. Leur motto: “Think Global (SAP Mentors) Act Local (SAP Inside Tracks)”. A sa demande, j’avais préparé une courte présentation intitulée “Personal branding towards Corporate branding”.

    Frédéric Williquet présente sa synthèse du World Café sur les aspects humains de SAP.
    Frédéric Williquet, consultant RH spécialiste de l’entreprise sociale, a résumé les réflexions dans une impressionnante infographie, en un temps record (et j’ai pu rapidement m’appuyer sur cette infographie pour introduire encore mieux mon sujet).

    J’ai eu le plaisir d’y retrouver Christian De Neef et Frédéric Williquet, deux compagnons de route sur le chemin de l’entreprise collaborative. Christian, facilitateur, change manager et spécialiste du knowledge management, m’a devancée dans ma présentation. Grâce à son atelier “World Café” axé sur la question “What issues did you face on the people side of SAP?”, nous avons pu analyser sous un nouvel axe, forcément plus orienté développeurs, les freins à l’adoption d’un nouveau système.

     

    Ce que je retiens de cette journée:

    1. Les développeurs sont en bonne positionnement pour recueillir les plaintes, mais ne sont pas outillés pour répondre aux questions non techniques ; ils ont besoin d’être inclus dès le début du processus de conception, comme membre à part entière d’une équipe pluridisciplinaire.
    2. Une partie des utilisateurs freine car elle pense qu’elle n’est pas capable de s’adapter aux nouveaux outils. Du coaching individuel doit être organisé pour permettre à ces personnes de reprendre confiance en elles-mêmes, sous peine de voir leur poids handicaper la pleine implémentation du projet.
    3. L’émotion et la passion sont les deux meilleurs véhicules du partage et de l’implication. Les ambassadeurs et les mentors sont avant tout des gens passionnés.
  • Conférences en management et gestion des connaissances

    Nous vous relayons les prochaines dates des événements auxquels il nous semble intéressant de participer dans les prochaines semaines.

  • Podcast sur l’intelligence stratégique

    Suite aux Assises de l’Intelligence Stratégique, Philippe Back a souhaité interviewer Marina Aubert dans un podcast qu’il nous livre sur son site web.

    Aller au podcast

  • Dr Dominique Dupagne : « Les systèmes fondés sur les rapports de domination ont atteint leurs limites »

    Si vous évoluez dans un système où le comportement socialement utile est valorisé, ce type de comportement se généralisera. Si les comportements égoïstes et de domination permettent une ascension sociale rapide, ce sont ceux-là qui seront sélectionnés.

    Dans les principaux mécanismes de régulation actuels, un dominant (votre supérieur hiérarchique) va juger votre action et déterminer si elle est bonne ou mauvaise. Il n’y a pas pire système, car il engendre une amplification de la domination, avec tout ce que cela sous-entend de flagornerie, de dissimulation, d’intrigues… Plus vous allez ajouter de contrôles venant du haut de la pyramide, plus vous risquez d’amplifier les problèmes. On s’obstine, avec notre esprit cartésien, à vouloir trouver des indicateurs objectifs à la qualité de l’Homme. Or rien de pire que les indicateurs objectifs, rien de plus facile à manipuler, à truquer. Comme le disait Albert Einstein, « Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément. ».

    Source: Les Dialogues Stratégiques

  • Télétravail : apprendre le management par objectifs

    1. le manager doit réellement adhérer à l’option « télétravail »
    2. inscrire le télétravail dans les objectifs du manager
    3. aider les managers à dépasser leurs peurs
    4. s’inspirer des solutions éprouvées dans les pays du nord de l’Europe
    5. la hiérarchie, ce n’est pas du contrôle de présence
    6. appliquer (vraiment) le management par objectifs
    7. accorder autant d’attention à l’humain qu’à la technique

    Source: RHinfo
    C’est exactement le chemin que nous voulons vous aider à prendre: un outil technique n’est rien sans l’accompagnement à l’adoption, qui passe nécessairement par le schisme de la courbe d’apprentissage. Nos spécialistes viennent des différents métiers de l’entreprise, et vous tiennent la main dans ce parcours pas toujours évident à gérer.

    La courbe d'adoption et son schisme
    La courbe d’adoption et son schisme
  • Demain, dans ton magasin

    Selon Roel van der Landen de HighCo, le shopping de demain, ce sera:

    Plus d’auto-achat. Le self-scanning est un des exemples. Le client aime le contrôle. Celui des prix notamment.

    Plus de facilité d’utilisation des produits. Aux marques de pousser l’innovation dans ce domaine.

    Plus de rapidité. Avec des applications mobiles notamment. Demain, les clients feront de plus en plus appel aux enseignes pour remplir leur caddie. Le système des droppoints est en pleine progression et est appelé à se développer.

    Plus de connaissance du client. Qui passe sans doute par encore plus de sophistication dans le traitement des cartes de fidélité et des tickets de caisse.

    Plus de personnalisation dans la communication et dans les offres. L’e-couponing sert à ça.

    Plus d’informations pour le client avec la généralisation du QR code.

    “En théorie, un supermarché sans aucune marque n’est pas impossible. Tesco aux Pays-Bas est déjà bien avancé dans ce sens.

    Source: www.pub.be

  • Mimétisme d’affaires

    “Le mimétisme, tel qu’il est défini dans le dictionnaire, est la capacité que certains êtres vivants possèdent pour s’adapter à leur environnement et en tirer un avantage fonctionnel. C’est une stratégie adaptive d’imitation. Le mimétisme est un moyen d’assurer la survie dans une situation dangereuse. (…)

    Mais les entreprises sont-elles capables aussi d’un tel mimétisme? Oui!

    Une société, non seulement peut mais doit le faire. Elle doit être attentive aux changements de son environnement et s’adapter en conséquence. Sa survie en dépend.
    Elle doit pouvoir assumer le changement et répondre aux nouvelles demandes qui se présentent. Mettre en oeuvre un système de veille peut, sans aucun doute, lui permettre de trouver à l’avance les moyens de s’adapter aux changements. Une manière de continuer à être compétitive et à prendre de l’avance sur ses concurrents, avant qu’il ne soit trop tard.”

    Nuria Torregrosa in CCIMag’ n°09 – Novembre 2012

  • De Journaliste-web.be à Orchestraaa

    A l’origine

    Depuis 2003, l’entreprise a évolué avec les pratiques et les outils offerts par le Web grandissant. A ses origines, alors Journaliste-web.be, elle soutenait les entreprises et institutions publiques dans la dynamisation de leurs sites web ; en 2010, son action se voit renforcée par CommunicationWeb.be, sa cellule stratégique.

    En 2012, le numérique pénètre tous les silos. Les réseaux sociaux s’internalisent. Les gains de productivité demandent aux processus de s’adapter, mais surtout aux organisations humaines de se repenser. L’entreprise devient Orchestraaa. Epaulée par ses change managers spécialisés, elle accompagne entreprises et institutions dans leur évolution numérique dans une vision stratégique à long terme.

    Historique

    2003-2012
    Journaliste-web.be
    2010-2012 CommunicationWeb.be 2012-…
    Orchestraaa
    2005 Finaliste wallon du Grand Prix de la Très Petite Entreprise
    2006 Etude sur la satisfaction utilisateurs des Intranets, en partenariat avec Inside
    2007-2010 Co-fondation de e-criture asbl, pour la promotion des métiers de l’écriture web
    2008 Finaliste du Grand Prix Wallon de l’Entrepreneuriat
    2008 Co-auteurs de Ecrire et Manager sa Communication Web
    2009 Co-création du collectif RueDuWeb
    2010 Co-lancement du groupe de travail Entreprise collaborative
    2011 Etude sur le profil des utilisateurs de Twitter en Belgique
    2012 Participation aux Assises de l’Intelligence Stratégique
    2013 L’entreprise s’ouvre à d’autres expertises, et se transforme en collectif de spécialistes.