Marina Aubert

Senior Data Consultant

Category: Change management

  • Télétravail : apprendre le management par objectifs

    1. le manager doit réellement adhérer à l’option « télétravail »
    2. inscrire le télétravail dans les objectifs du manager
    3. aider les managers à dépasser leurs peurs
    4. s’inspirer des solutions éprouvées dans les pays du nord de l’Europe
    5. la hiérarchie, ce n’est pas du contrôle de présence
    6. appliquer (vraiment) le management par objectifs
    7. accorder autant d’attention à l’humain qu’à la technique

    Source: RHinfo
    C’est exactement le chemin que nous voulons vous aider à prendre: un outil technique n’est rien sans l’accompagnement à l’adoption, qui passe nécessairement par le schisme de la courbe d’apprentissage. Nos spécialistes viennent des différents métiers de l’entreprise, et vous tiennent la main dans ce parcours pas toujours évident à gérer.

    La courbe d'adoption et son schisme
    La courbe d’adoption et son schisme
  • Mimétisme d’affaires

    “Le mimétisme, tel qu’il est défini dans le dictionnaire, est la capacité que certains êtres vivants possèdent pour s’adapter à leur environnement et en tirer un avantage fonctionnel. C’est une stratégie adaptive d’imitation. Le mimétisme est un moyen d’assurer la survie dans une situation dangereuse. (…)

    Mais les entreprises sont-elles capables aussi d’un tel mimétisme? Oui!

    Une société, non seulement peut mais doit le faire. Elle doit être attentive aux changements de son environnement et s’adapter en conséquence. Sa survie en dépend.
    Elle doit pouvoir assumer le changement et répondre aux nouvelles demandes qui se présentent. Mettre en oeuvre un système de veille peut, sans aucun doute, lui permettre de trouver à l’avance les moyens de s’adapter aux changements. Une manière de continuer à être compétitive et à prendre de l’avance sur ses concurrents, avant qu’il ne soit trop tard.”

    Nuria Torregrosa in CCIMag’ n°09 – Novembre 2012

  • “7 elements of an enterprise collaboration strategy”

    • Generating real, measurable value
    • With a core group that has deep expertise
    • Individual benefits
    • a few handfuls of passionate, knowledgable, capable, social people
    • Management engagement
    • A network of advocates
    • A platform
    • a simple, low-cost, iterative approach (cf. Lean Startup)

    Source: http://johnstepper.com/2012/06/30/7-elements-of-an-enterprise-collaboration-strategy/

  • Downward counterfactual means judging oneself in comparison to all of the people who didn’t win

    “Here’s how to minimize upper counterfactuals before an appraisal:

    • No surprises. Hold enough feedback sessions in the months leading up to the appraisal so that employees can predict precisely what they’ll hear from you. Performance evaluations should never contain surprises.
    • Be clear. Ensure employees totally understand how their performance will be measured.  It is terribly unfair to enforce an unpredictable bell curve rating system.
    • Ask questions. Have honest conversations to explore what employees are expecting. Then you can correct misperceptions in advance–or at the very least be prepared for them.

    And here’s how to deal with upper counterfactuals when they happen during an appraisal:

    • Don’t argue or debate. Let employees vent. Sometimes all they want is to be heard.
    • Paraphrase what they say to show you listened.
    • Ask further questions to learn about the underlying reasons for how they feel. The more you know, the better you can respond–and sometimes empathize.
    • If necessary, refer to previous discussions when you talked about performance issues.
    • Be prepared to concede that maybe–just maybe–your rating was wrong. (It does happen.)

    Be fair, be honest, be straightforward… and also consider the impact of the appraisal on the employee.

    When you do, your employees won’t need to be first to feel like they’re winners.”

    Source: http://www.inc.com/jeff-haden/performance-evaluations-manage-employee-emotions.html

  • “Engineering Management Is Dying”

    “There are elements of this philosophy at work at Google, where it’s not unusual to see 200-person projects headed by an Engineer.

    Drucker saw it coming. In the ’80s, he predicted the rise of the “information-based-organization”. He saw information as enabling an extremely flat structure, which like an orchestra, consisted of technical experts who perhaps dreamt of moving from second bassoon to first bassoon, or from a good orchestra to a better one, but had no interest in pursuing a career in conducting, a.k.a. management. (…)

    I’m also working on two other things that Drucker might recommend. He wrote:

    Information is data endowed with relevance and purpose. Converting data into information requires knowledge. And knowledge, by definition, is specialized. The information-based organization requires far more specialists….

    I’m becoming a specialist in two aspects of the software process that hackers ignore. The first is applying data, metrics and analytics to process improvement, and the second is structuring the work to enable people to have a better work-life, which I call positive software engineering.”

    Source: http://deathrayresearch.tumblr.com/post/26759934886/engineering-management-is-dying

  • “Les canaux digitaux jouent un rôle clé pour interagir avec les clients”

    “Ce faible partage des informations de façon transversale au sein des différents services des entreprises entraîne des ruptures dans certains processus de traitement (réclamations clients par exemple). (…)

    D’ici 2014, les efforts seront portés notamment sur le développement de communautés d’intérêts ; la personnalisation des échanges ; la meilleure analyse des données et informations échangées via ces canaux pour mener des actions ciblées (up-selling ou cross-selling par exemple, résolution plus rapide de réclamations ou de toute question client) ; l’intégration aux autres canaux d’interactions pour une meilleure cohérence dans les échanges (canaux vocaux pris en charge par les centres de contacts par exemple, intégration aussi dans l’outil de CRM…).

    L’objectif est aussi de tirer parti de l’essence même des réseaux sociaux pour “socialiser” et “humaniser” les interactions clients. Vaste enjeu qui induit derrière de repenser les approches, l’organisation et les compétences.”

    Source: http://solem.over-blog.com/article-les-canaux-digitaux-jouent-un-role-cle-pour-interagir-avec-les-clients-103208859.html

  • Active Ageing Awards

    “Chaque jour, des travailleurs quittent le marché du travail de manière prématurée. Les entreprises sont confrontées à une perte de connaissances et d’expérience, et peinent à trouver de nouveaux talents. Les solutions requièrent la collaboration de nombreux acteurs. Les entreprises peuvent y contribuer, notamment en adaptant leur stratégie en matière de gestion des ressources humaines.”

    Une initiative intéressante, à soutenir!

  • “Le reporting 2.0, miracle ou mirage ?”

    « la confiance n’exclut pas le contrôle » !

    1. Les managers doivent toujours rendre des comptes à des clients

    (…) L’enjeu est donc de se situer de façon suffisamment précise sur l’avancement du projet afin de pouvoir agir quand cela est nécessaire, sans pour autant faire perdre de temps inutilement à l’équipe.

    Cela se rapprocherait un peu d’un point GPS permettant de se localiser sur une carte, de savoir si l’on a parcouru beaucoup de chemin et s’il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

    2. Le bon outil de reporting résulte d’une co-construction

    (…) de quelles informations avez-vous besoin pour réussir votre mission ? (…)

    Si l’intégralité des énergies est consacrée à la réalisation du projet plutôt qu’à son explication de texte, nul doute que le projet aura le maximum de chances de réussir. CQFD ;)”

    Source: http://www.lestalentsdalex.com/2012/06/le-reporting-2-0-miracle-ou-mirage/