Marina Aubert

Senior Data Consultant

Category: Change management

  • “How do Freelancers, Employees and Entrepreneurs cowork?”

    “Freelancers continue to dominate the membership base of coworking spaces, but an increasing percentage of the membership classifies itself as employees, numbering around a quarter worldwide and a third in the U.S. (…)

    Employees, for instance, are members for an average of only seven months. Further, they spend less time in their coworking spaces compared to freelancers and entrepreneurs, so the benefits of coworking are not (yet) fully realised. (…)

    For employees, coworking spaces can present many benefits. Social networks are expanded, isolation is reduced and productivity increased – if not quite as markedly as the other two groups. (…)

    Somewhat surprisingly, employees most often appreciate being a member of a community. (…) The survey also revealed that, for them, a fixed table is not necessarily desirable. Volume, on the other hand, is an issue – with almost one in three bothered by the noise levels of the new workplace. Contrary to the other groups, the majority are satisfied with access during traditional working hours. (…)

    Because employees work primarily in fixed teams (46%), have the fewest “new, useful” acquaintances and participate rarely in events, integration measures that are oriented towards their particular needs could help ameliorate their coworking experience.”

    Source: http://www.deskmag.com/en/how-do-freelancers-employees-and-entrepreneurs-coworking-spaces-comparison-368

  • Why Social Learning benefits your business

    “For training programs to be effective, companies must use the right methods and medium for their training sessions and their audience. Given the popularity of social media, it only seems logical to explore how social media tools can have a positive impact on the learning experience. (…)

    “There will always be some kinds of training that must be done in a classroom setting because of the requirements of the training or skill mastery demands,” Bingham explains. “Examples include certification, compliance, and deep learning -– this is happening in the classroom.” (…)

    Bingham says it’s possible to calculate the return on social learning, but it’s not the traditional return-on-investment (ROI) formula: “It requires alignment to what’s important to the organization, and often that includes retaining institutional knowledge, solving complex problems collaboratively and attracting people to your organization.

    Organizations have to gain an understanding of how a new generation of workers likes to learn, how they use technology and their preferred means of communication. This will be essential in creating training curriculum, development programs and succession plans. (…)

    Business leaders need to realize that employees are already using social tools -– whether it’s approved or not. Instead of prohibiting the use of social media, savvy business leaders should harness its power to drive business results. Bingham notes, “It’s important to make the distinction between a management problem and a technology problem. Most often, problems that occur with the use of social media are management problems.” (…)

    Organizations should have an intellectual property policy in place that outlines clear expectations -– and consequences for inappropriate activity. This policy should consider the multitude of possibilities for the use of an organization’s intellectual property.”

    Source: http://mashable.com/2012/05/19/social-learning/

    Je vous recommande de lire l’article entier, il est complet et extrêmement pertinent.

     

  • Faire progresser l’égalité hommes/femmes PAR LES HOMMES

    “Être un homme dans l’entreprise, c’est 1. Eviter le féminin, 2. Etre un gagnant, 3. Ne jamais montrer une faille dans l’armure, 4. Faire partie du clan. Soit ces normes ont évolué, soit l’échantillon n’est pas représentatif car tous les ont mises en doute en affirmant s’en démarquer au prix de reconfigurations parfois subtiles ; tout en notant que les femmes, nouvelles venues, empruntent elles-mêmes rapidement ces comportements. Une norme non répertoriée est néanmoins présente chez les dirigeants ; c’est l’aspiration prioritaire pour le travail associée au plaisir du dépassement qui occulte le coût de la réussite pour leur famille et pour eux-mêmes. Les cadres, eux, négocient davantage avec leurs épouses pour trouver des ajustements, notamment en cas de double carrière.”

    Source: http://www.huffingtonpost.fr/caroline-eliacheff/des-hommes-des-vrais_b_1520186.html

  • 72 % des salariés équipés d’un smartphone travaillent sur leur temps personnel

    “52 % des salariés équipés utiliseraient leur smartphone personnel à des fins professionnelles. Et cela alors même que 65 % des responsables informatiques sondés indiquent interdire ces usages. Plus loin, l’étude révèle que 61 % des salariés équipés de smartphones télétravaillent alors que ce mode d’exercice de leur activité professionnelle n’est officiellement supporté que dans 9 % des cas. Bref, faire le gros dos ne sert manifestement à rien. Mais apparemment sûrs d’eux, 52 % des responsables interrogés assurent ne rien prévoir pour encadrer les usages, freinés notamment – à 38 % – par des questions budgétaires.”

    Source: http://www.lemagit.fr/article/smartphone-idc-etude-teletravail-bouygues-telecom-consumerisation-byod/11056/1/le-smartphone-outil-tous-les-debordements/

  • “Travailler à distance nécessite d’y avoir été préparé”

    “84 % s’estiment mal préparés à affronter les difficultés et les changements que cette façon de travailler implique. Selon les personnes interrogées, celles-ci peuvent être rangées dans cinq catégories :

    • pour 79 % d’entre elles, le travail avec des interlocuteurs virtuels fait que les salariés manquent en général de temps pour véritablement apprendre à connaître leurs collègues.
    • Pour près des trois quarts, cela affecte la vitesse dans la prise de décisions.
    •  Pour 71 %, cela diminue le taux de participation.
    •  Pour 69 %, cela fait se confronter différents styles de management,
    • et de manières de prendre des décisions (55 %).

    Source: http://www.atelier.net/trends/articles/travailler-distance-necessite-y-ete-prepare

  • “L’entreprise libérée”

    “Quand vous travaillez sur l’humain, vous travaillez sur le long terme.”

  • “10 Not-so-Obvious Intranet Content We Want from HR”

    1. The meaning behind policies
    2. Interactive training/learning
    3. FAQs
    4. Video tutorials of common HR transactions
    5. Common employee mistakes and how to avoid them
    6. Career advancement tools
    7. Superstar employees
    8. Staff opinion
    9. Relevant laws
    10. Wellness

    Source: http://www.vialect.com/intranet-content-from-hr

  • Le Belge Jérémy Le Van est “designer spécialisé” chez Foursquare

    Tous les jours vers 14 heures les différentes équipes ont un “stand-up” meeting avec nos bureaux à San Francisco en vidéo conférence. Le concept du stand-up meeting est censé rester très bref, il s’agit d’une réunion debout qui ne dure pas plus de 10 minutes. Le but est que tous les membres de l’équipe soient au courant de ce qui se passe tant au niveau technique, qu’au niveau du visuel et de l’interaction. Une fois par semaine, nous avons une réunion entre designers afin de discuter les différents états de l’application et communiquer les projets sur lesquels nous travaillons. L’idée est de rester un maximum informé sur la vision du produit tout en ne perdant pas trop de temps dans les réunions.”


  • “Un nouvel espace de transparence radicale : GlassDoor.com”

    “Glassdoor est une société dont le nom décrit bien l’activité : rendre transparent à l’extérieur ce qui se passe à l’intérieur grâce à des portes de verre. Il s’agit d’une nouvelle expression du concept de transparence radicale. Les salariés et anciens salariés disposent d’un espace pour partager leur expérience (bonne ou mauvaise) au sein de l’entreprise. De même, les candidats peuvent parler de ce qu’ils ont vécu dans le processus de recrutement de l’entreprise.”

    Pour une entreprise qui soigne son image de marque, recevoir un feed-back peut faire mal quand il est plutôt négatif mais c’est indispensable pour progresser. Avant les médias sociaux, on pouvait “presque” contrôler son image en particulier via les relations médias et budgets publicitaires. Avec les médias sociaux, c’est terminé : il faut partager le contrôle de l’image.”

    Ce nouveau paradigme doit pousser les entreprises vers plus d’excellence et non vers plus de marketing RH… La perfection n’existe nulle part et l’objectif n’est donc pas d’être parfait mais authentique. Par ailleurs, un point négatif pour une personne peut être un point neutre ou positif pour une autre.”

    J’invite les entreprises à ne pas considérer ce service comme une menace mais une sorte de 360° Feed-back. Certains employés y ont droit (de gré ou parfois de force), pourquoi pas l’entreprise ?”

  • O2 homeworking pilot ‘saved staff 2,000 hours’

    Homeworking : The telecoms firm O2 has revealed the results of a staff survey that showed that 2,000 hours of commuting time was saved during the experiment. Employees spent just over half – 1,040 hours – of that extra time working, with the remainder going on extra sleep, relaxation or family activities.

    Source: O2 homeworking pilot ‘saved staff 2,000 hours’ – People Management Magazine Online (via fredericwilliquet)