Marina Aubert

Senior Data Consultant

Blog

  • La génération Y et le numérique

    “La génération Y est au numérique ce que sont les copains de bar au networking: une nécessité certaine de professionnalisation.” Marina Aubert

  • “What I’ve learned about creating meaningful work”

    • Just start
    • Experiment
    • Make your own path
    • Show up
    • Be present
    • Launching is better than perfecting
    • Stop judging, stop comparing
    • Tiny pieces
    • Busyness does not equal productivity
    • Your intentions shine through (even if you don’t want them to)

    Source

  • SPF Sécurité sociale: le ministère belge qui se voulait sexy

    Et si nos institutions publiques devenaient des employeurs sexys et à la mode? C’est ce qui est arrivé au Ministère Belge de la Sécurité Sociale…

    http://www.socialsecurity.fgov.be/fr/over-de-fod/organisatie/nieuwe-werken/novo.htm

  • Les Ateliers de Waterloo Way: resserrer le tissu économique local

    Mary Gasparoly et moi nous connaissons depuis plusieurs années et, nos activités étant proches, nous recherchions une opportunité de travailler ensemble.

    Au détour d’une conversation entre entrepreneures, nous nous sommes rendues compte que nos clients avaient cela en commun que souvent, le nez dans le guidon, ils ne savaient plus vers où ambitionner de communiquer. La connexion était faite.

    Nous avons donc élaboré une formule de mise en commun et d’échanges pour la communauté de Waterloo Way: Les Ateliers de Waterloo Way.

    La soirée de lancement fut organisée le jeudi 29 octobre au soir, et a rassemblé une vingtaine d’indépendants locaux. Au menu, une présentation de la formule, et un avant goût de détection des besoins sous la forme d’une animation Thiagi: “Comment réagir face à la baisse d’activité économique ?”

    Ce que je vais développer/renforcer _en_ moi Ce que je vais développer/renforcer _autour_ de moi

    La suite de l’évolution de la formule sur la page Facebook des Ateliers de Waterloo Way.

  • Accompagnement du lancement d’une nouvelle presse locale numérique

    Via l’asbl e-criture en 2007, j’avais essayé d’apporter l’appui de nos expériences de créateurs de contenu en ligne aux organes de presse qui commençaient à s’inquiéter de l’opportunité de leur présence en ligne. A l’époque, la proposition de partage d’expérience avait été agressivement rejetée, par l’Association des Journalistes de Presse, par Le Soir en ligne.
    Je donnais néanmoins plusieurs fois des journées de formation en “Journalismes en ligne” pour TechnofuturTIC, me heurtant à l’agressivité de journalistes qui tentaient désespérément de défendre leur steak.

    Bref, j’avais laissé tombé: ils n’étaient pas prêts.

    En 2010, Damien Van Achter, un ancien camarade de promo, reprend le flambeau, à sa sauce, de l’intérieur: il est à l’origine du développement de la stratégie numérique de la RTBF, puis utilise son expérience pour porter la bonne parole plus largement, dans les grands médias grâce à son engagement chez Owni, puis via la formule détonnante du Work&Sleep pour les étudiants de l’IHECS. Le mouvement est lancé.

    Depuis, l’IAB et le Media Rating Council cherchent à lever les obstacles à l’utilisation généralisée de la visibilité publicitaire comme « monnaie d’échange ».

    En 2014, j’ai tenté en vain via Orchestraaa de lancer avec plusieurs journalistes ayant démarré leur propre média en ligne, une collaboration “échange compétences contre visibilité”. Le projet a capoté, par manque d’agilité: trop de principes “d’indépendance” journalistique ont empêché la confiance de s’installer.

  • Les réseaux sociaux en entreprise: étude du panorama Lecko 2014

    Dans ma formation aux Réseaux Sociaux en Entreprise pour Technocité, j’ai introduit cette semaine l’étude Lecko 2014 sur les réseaux sociaux internes.

    La tâche fut ardue, le vocabulaire très difficile d’accès pour certains, mais le travail en équipe a réussi à rendre lisible l’essence de ce rapport:

    Tableau résumé de l'étude Lecko

    Encore une belle victoire des méthodes d’animation Thiagi face à l’adversité de la matière à conquérir. Je tiens à remercier les participants pour leurs efforts, et à les féliciter pour ces excellents résultats! 🙂

    Une présentation de l’étude:

    [slideshare id=30700531&doc=supportevtrset6140130ssanim-140201083235-phpapp02]

    L’étude est à télécharger ici

  • Invitation de Microsoft à découvrir la Surface 3 Pro

    La Surface 3 Pro: un véritable outil de travail

    Microsoft m’avait prêté une Surface 2 en début d’année, et j’en étais restée peu convaincue. La Surface 3 Pro apporte une amélioration essentielle: un clavier vraiment utilisable en mode travail. Ce qui fait de ce nouveau modèle un vrai concurrent à mon MacBook Air. Certes, il m’est toujours un peu compliqué de retenir les manipulations de raccourci de Microsoft, mais il me semble qu’on peut s’y faire avec quelques jours/semaines d’utilisation.

    Une autre nouveauté: le stylet. Il permet de prendre directement des notes manuscrites dans OneNote, et de réaliser des copies d’écran précises.
    Il est aussi d’une grande aide pour naviguer sur les sites web non optimisés, en mode tablette (comme Amazon!).

    Ce que je retiendrai de la Surface 3 Pro:

    • excellent rapport qualité-prix
    • quasi aussi léger que mon MacBook Air, mais avec une bien meilleure mémoire!
    • différentes options de synchronicité avec les autres appareils Microsoft 8.1: smartphone et ordinateur

    La Surface pour les enseignants et les étudiants: un bon investissement

    On m’a demandé de former les enseignants à intégrer les tablettes à leurs outils pédagogiques ; je me suis donc particulièrement renseignée à ce sujet.

    La Surface 3 Pro possède pour les enseignants plusieurs atouts face à ses concurrents:

    • Il est possible de séparer complètement les comptes enseignant et élève d’une même Surface. L’appareil du professeur peut donc être utilisé par les étudiants sans risquer d’en altérer les données.
    • La Surface 3 Pro est aussi un véritable ordinateur, qui comporte toute la suite Microsoft Office, généralement déjà connue et utilisée par les enseignants.
    • Ses données peuvent être synchronisée en partie ou entièrement avec la session de l’enseignant sur les ordinateurs de l’école, ou sur le sien à la maison.

    Le descriptif officiel de la Surface 3 Pro
    Offres spéciales pour les étudiants

  • 04/12/2014 mon output de la conférence sur le coworking

    Organisée par le Parlement Européen, cette conférence a eu le bon goût d’inviter nos stars du coworking, à savoir Jean-Yves Huwart et Ramon Suarez.

    Neelie Kroes introduit les débats:

    Europe does not have  a Silicon Valley, and does not need one.
    I want to support you, but I need to know what you need and how.

     

    Jean-Yves Huwart rappelle que le premier espace de coworking a été créé en 2005 à San Francisco. Auujourd’hui, la moitié des espaces de coworking mondiaux sont en Europe.

    Motorola (racheté par Google) a emménagé au-dessus d’un espace de coworking du centre ville de Chicago, afin de se connecter à l’énergie générée par la communauté.

    Les grandes entreprises diminuent en taille, les communautés d’indépendants croissent.
    Le coworking peut parfois grandir comme une réponse spécifique aux demandes de certains publics: comme du coworking autour des assurances santé à Toronto. Les espaces de coworking deviennent des entreprises “micro-multinationales”.

    Les mouvements bottom-up en Europe ont réussi à générer le lancement de 140 programmes d’accélérations de startups, et la création de 1600 espaces de coworking.

    Jean-Yves Huwart:

    Le coworking rend visible ce qui se passe sur Internet.

    87% des coworkers ont démarré un projet avec d’autres coworkers. Le coworking peut contribuer à la relance de l’économie européenne.

     

    Claudio Vandu prend ensuite la parole. Il est le cofondateur de l’espace de coworking Silicon Sentier, créé en 2003 à Paris, sous la forme d’une collaboration Public-Privé-Crowdfunding.

    Aujourd’hui, Silicon Sentier mute en NumaParis et emménage dans 1600m2, en ajoutant à son espace de coworking un accélérateur, un espace de travail ouvert, une grande salle de réception, et un fablab.
    Les besoins de NumaParis: du financement agile et l’acceptation du principe de sérendipité.

     

    Panni Klementz, fondateur de l’espace de coworking LOFFICE à Budapest. Elle a expliqué le mode de fonctionnement de son espace, avant de conclure:

    Coworking is collaborating with like-minded people.

     

    Ramon Suarez, fondateur du Beta Cowork à Bruxelles, termine les débats en répondant à Neelie Kroes:

    Our needs are: please do things on demand!

    Le contexte de la conférence, raconté par le Beta Cowork: http://www.betacowork.com/the-voice-of-coworking-2/

  • L’économie de la presse: un modèle sans vision numérique?

    Aujourd’hui, il reste toujours difficile de configurer une tablette pour faciliter le partage de sa veille avec ses publics en ligne.

    D’un côté il est possible de partager des articles gratuits, de l’autre il est impossible de partager, et donc de promouvoir, le contenu payant.

    Il serait vraiment utile de permettre la sélection/copier-coller/partager d’un extrait (limité) d’article avec lien vers l’article en ligne, qui lui serait payant ET achetable à l’unité.
    Sur le site web du magazine, donner accès à une version abonnés du magazine, partageable de la même manière limitée.

    Je trouve néanmoins que l’ajout automatique de l’adresse web de l’article dont est issu la sélection est extrêmement bien trouvé, pour mentionner à la fois la source et la propriété de ce contenu.