Et si nos institutions publiques devenaient des employeurs sexys et à la mode? C’est ce qui est arrivé au Ministère Belge de la Sécurité Sociale…
http://www.socialsecurity.fgov.be/fr/over-de-fod/organisatie/nieuwe-werken/novo.htm
Senior Data Consultant
Et si nos institutions publiques devenaient des employeurs sexys et à la mode? C’est ce qui est arrivé au Ministère Belge de la Sécurité Sociale…
http://www.socialsecurity.fgov.be/fr/over-de-fod/organisatie/nieuwe-werken/novo.htm
Via l’asbl e-criture en 2007, j’avais essayé d’apporter l’appui de nos expériences de créateurs de contenu en ligne aux organes de presse qui commençaient à s’inquiéter de l’opportunité de leur présence en ligne. A l’époque, la proposition de partage d’expérience avait été agressivement rejetée, par l’Association des Journalistes de Presse, par Le Soir en ligne.
Je donnais néanmoins plusieurs fois des journées de formation en “Journalismes en ligne” pour TechnofuturTIC, me heurtant à l’agressivité de journalistes qui tentaient désespérément de défendre leur steak.
Bref, j’avais laissé tombé: ils n’étaient pas prêts.
En 2010, Damien Van Achter, un ancien camarade de promo, reprend le flambeau, à sa sauce, de l’intérieur: il est à l’origine du développement de la stratégie numérique de la RTBF, puis utilise son expérience pour porter la bonne parole plus largement, dans les grands médias grâce à son engagement chez Owni, puis via la formule détonnante du Work&Sleep pour les étudiants de l’IHECS. Le mouvement est lancé.
Depuis, l’IAB et le Media Rating Council cherchent à lever les obstacles à l’utilisation généralisée de la visibilité publicitaire comme « monnaie d’échange ».
En 2014, j’ai tenté en vain via Orchestraaa de lancer avec plusieurs journalistes ayant démarré leur propre média en ligne, une collaboration “échange compétences contre visibilité”. Le projet a capoté, par manque d’agilité: trop de principes “d’indépendance” journalistique ont empêché la confiance de s’installer.
Microsoft m’avait prêté une Surface 2 en début d’année, et j’en étais restée peu convaincue. La Surface 3 Pro apporte une amélioration essentielle: un clavier vraiment utilisable en mode travail. Ce qui fait de ce nouveau modèle un vrai concurrent à mon MacBook Air. Certes, il m’est toujours un peu compliqué de retenir les manipulations de raccourci de Microsoft, mais il me semble qu’on peut s’y faire avec quelques jours/semaines d’utilisation.
Une autre nouveauté: le stylet. Il permet de prendre directement des notes manuscrites dans OneNote, et de réaliser des copies d’écran précises.
Il est aussi d’une grande aide pour naviguer sur les sites web non optimisés, en mode tablette (comme Amazon!).
Ce que je retiendrai de la Surface 3 Pro:
On m’a demandé de former les enseignants à intégrer les tablettes à leurs outils pédagogiques ; je me suis donc particulièrement renseignée à ce sujet.
La Surface 3 Pro possède pour les enseignants plusieurs atouts face à ses concurrents:
Le descriptif officiel de la Surface 3 Pro
Offres spéciales pour les étudiants
Organisée par le Parlement Européen, cette conférence a eu le bon goût d’inviter nos stars du coworking, à savoir Jean-Yves Huwart et Ramon Suarez.
Neelie Kroes introduit les débats:
Europe does not have a Silicon Valley, and does not need one.
I want to support you, but I need to know what you need and how.
Jean-Yves Huwart rappelle que le premier espace de coworking a été créé en 2005 à San Francisco. Auujourd’hui, la moitié des espaces de coworking mondiaux sont en Europe.
Motorola (racheté par Google) a emménagé au-dessus d’un espace de coworking du centre ville de Chicago, afin de se connecter à l’énergie générée par la communauté.
Les grandes entreprises diminuent en taille, les communautés d’indépendants croissent.
Le coworking peut parfois grandir comme une réponse spécifique aux demandes de certains publics: comme du coworking autour des assurances santé à Toronto. Les espaces de coworking deviennent des entreprises “micro-multinationales”.
Les mouvements bottom-up en Europe ont réussi à générer le lancement de 140 programmes d’accélérations de startups, et la création de 1600 espaces de coworking.
Jean-Yves Huwart:
Le coworking rend visible ce qui se passe sur Internet.
87% des coworkers ont démarré un projet avec d’autres coworkers. Le coworking peut contribuer à la relance de l’économie européenne.
Claudio Vandu prend ensuite la parole. Il est le cofondateur de l’espace de coworking Silicon Sentier, créé en 2003 à Paris, sous la forme d’une collaboration Public-Privé-Crowdfunding.
Aujourd’hui, Silicon Sentier mute en NumaParis et emménage dans 1600m2, en ajoutant à son espace de coworking un accélérateur, un espace de travail ouvert, une grande salle de réception, et un fablab.
Les besoins de NumaParis: du financement agile et l’acceptation du principe de sérendipité.
Panni Klementz, fondateur de l’espace de coworking LOFFICE à Budapest. Elle a expliqué le mode de fonctionnement de son espace, avant de conclure:
Coworking is collaborating with like-minded people.
Ramon Suarez, fondateur du Beta Cowork à Bruxelles, termine les débats en répondant à Neelie Kroes:
Our needs are: please do things on demand!
Le contexte de la conférence, raconté par le Beta Cowork: http://www.betacowork.com/the-voice-of-coworking-2/
Aujourd’hui, il reste toujours difficile de configurer une tablette pour faciliter le partage de sa veille avec ses publics en ligne.
D’un côté il est possible de partager des articles gratuits, de l’autre il est impossible de partager, et donc de promouvoir, le contenu payant.
Il serait vraiment utile de permettre la sélection/copier-coller/partager d’un extrait (limité) d’article avec lien vers l’article en ligne, qui lui serait payant ET achetable à l’unité.
Sur le site web du magazine, donner accès à une version abonnés du magazine, partageable de la même manière limitée.
Je trouve néanmoins que l’ajout automatique de l’adresse web de l’article dont est issu la sélection est extrêmement bien trouvé, pour mentionner à la fois la source et la propriété de ce contenu.
Orchestraaa est a accompagné le lancement de FARR (Franco Algériens Républicains Rassemblés) pour ses conseils en Intelligence Collective. Férial Furon, la présidente de ce mouvement évoquera sa confiance en notre collectif :
– lors du gala de lancement de FARR le 6 février 2014, au Pavillon Dauphine, à Paris
– dans un article à paraître dans Gazelles Magazine
Nous interviendrons le 22 février 2014 à 13h au cinéma Saint André des Arts, dans le 6ème arrondissement de Paris, à l’occasion de la sortie du film de Frédéric Gibilaro, “Mauvaise Réponse” sur le thème des manipulations.
Nous y animerons une conférence sur comment passer de Manipulation – Censure – Conflits à Liberté – Egalité – Fraternité. Ce sera l’occasion de vous exposer pourquoi et comment nos dirigeants français peuvent développer l’efficacité de leurs entreprises en s’engageant dans l’Intelligence Collective.
Venez nous y retrouver…
La presse écrite est en pleine crise: Internet bouscule entièrement ses modes de financement traditionnels, et nombreux sont les titres de presse en train de se noyer dans le tournant numérique.
Les journalistes de presse expérimentés voient leur travail peu valorisé et le résultat qualitatif pour les lecteurs décroit trop souvent.
Certains de ces journalistes profitent du web pour tenter de lancer leur propre média. Mais évidemment, le journalisme et la création d’un organe de presse viable sont deux métiers différents.
Pour leur apporter des conseils de professionnels, nous avons créé le Programme Presse 2.0.
Dans ce programme, nous accompagnons ces nouveaux entrepreneurs :