Pas de souci, certains vont vous faciliter la tache, avec une plateforme centralisant tous les liens pour se désinscrire des plateformes en ligne et des réseaux sociaux: http://justdelete.me/
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La ligne éditoriale de votre (personal) branding
En donnant mes formations sur l’e-réputation, je me suis rendue compte qu’il n’existait pas de ressource “simple” expliquant ce que devait comporter une ligne éditoriale à destination d’une e-réputation ou d’un personal branding. Tous enrichissements sont les bienvenus.
La ligne éditoriale définit le type de communication de chaque e-canal, dans le cadre de vos objectifs de e-réputation.
Vous devez mentionner pour chaque e-canal:
- son objectif de communication,
- son positionnement par rapport aux autres e-canaux,
- les types de contenus publiés:
- articles, photos, vidéos, sons,
- contenus propres, contenus relayés (manuellement, automatiquement, de quelle provenance), contenus commentés,
- avec quel ton, selon quel style d’expression
EDIT
La ligne éditoriale précise également de manière pratique le format, le ton, et la fréquence de son expression. Elle est un des éléments de la charte éditoriale.
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A chaque génération son boulot
Quand ma grand-mère de 88 ans s’inquiète pour mon avenir, alors qu’elle a vécu la Seconde Guerre Mondiale… je me dis que nos soucis économiques ne sont que des petits cailloux dans nos chaussures (des chaussures sans trous, contrairement à celles de beaucoup d’enfants pendant la guerre).
Pour la rassurer, j’ai mis en perspective nos difficultés: oui, ce n’est pas facile. Mais pour quelle génération, la vie a-t-elle vraiment été facile? Faut-il que nous ayons à détruire puis à reconstruire notre pays, pour que nous puissions être fiers d’une croissance telle quelle était dans les Trente Glorieuses?
Au final, je me rends surtout compte que, nous aussi, nous devons surtout nous remonter les manches, et que c’est avoir une vision de l’Histoire un peu courte que de se dire que nous n’avons pas de chance. Arrêtons de nous reposer sur les lauriers des autres, et hop, au boulot!
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Des réseaux sociaux en entreprise, à l’intelligence collective
J’avais déjà expliqué sur le blog d’Orchestraaa les résultats étonnants auxquels j’étais arrivée lors d’une première journée d’atelier de formation sur l’e-réputation puis d’une deuxième journée sur les réseaux sociaux en entreprise, auprès d’un groupe de chercheurs d’emploi à Tournai.
Technocité m’a aujourd’hui donné l’occasion d’étendre la formation sur les réseaux sociaux sur deux jours, à Mons. Motivée par le mémoire de Patricia sur la médiation et l’intelligence collective, je me suis dit que quitte à étudier les réseaux sociaux, autant plonger vraiment dans la pratique et faire travailler le groupe sur leur communauté interne au travers d’un réseau social interne, puis sur la visibilité de leurs talents via les réseaux sociaux externes.
Evidemment, l’exercice était introduit, documenté, encadré. Le groupe était constitué de demandeurs d’emploi, surtout professionnels en communication. Le public cible idéale pour semer tout un tas de petites graines à voir grandir dans leurs prochains emplois 🙂
La construction de la communauté interne a clairement pris beaucoup plus de temps que je ne l’avais prévu… mais elle a permis de jeter les bases d’une communauté durable.
Les participants ont choisi d’ouvrir un Yammer ; prévoyante, j’avais déjà réservé un nom de domaine dédié: Technocity.me.A court terme, l’objectif est évidemment de professionnaliser la pratique des réseaux sociaux, et d’en recueillir les fruits en terme de productivité et de valorisation des talents.
A moyen terme, cette communauté regroupant des chercheurs d’emploi qui se connaissent pourrait peut-être même contribuer à les aider à trouver un emploi, voire à développer leur propre activité? Sérendipitons!(et évidemment j’y ai invité les participants du groupe de Tournai)
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La richesse des rencontres professionnelles
Je considère la richesse des rencontres effectuées dans la cadre professionnel comme un avantage en nature.Sandro Faiella -
Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres.
Je reste perplexe sur ces web entrepreneurs partis outre-atlantique vivre le rêve américain, qui reviennent régulièrement, via leurs blogs ou via la presse, cracher sur l’économie européenne.
Comme si l’Europe ne faisait rien pour stimuler la créativité et l’innovation, comme si l’Europe n’affichait pas la meilleure productivité au monde, comme si l’Europe ne présentait pas parmi les meilleurs chiffres de protection sociale au monde.Alors certes, la Silicon Valley est aux Etats-Unis, et nulle part ailleurs.
Mais dois-je rappeler que ce pays-continent est unilingue, parce que les populations autochtones ont été décimées par les envahisseurs (européens)?
Faut-il rappeler qu’il bénéficie largement de la fuite des cerveaux des pays qui, eux, investissent vraiment dans l’enseignement de qualité pour tous?Comme dit ma mère: ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres…
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Ne plus avoir peur, grâce à l’hygiène de surf
Technocité, sous contrat avec Le Forem, m’a permis de donner plusieurs formations à un même groupe de demandeurs d’emploi sur l’e-réputation, les réseaux d’entreprise, et le micro-blogging professionnel via Twitter.
Grâce à l’ouverture d’Orchestraaa, j’ai pu comprendre d’où venaient les blocages auxquels je faisais régulièrement face dans mes formations. Certes, j’ai toujours pu compter sur mon enthousiasme pour arriver à convaincre les plus réticents, mais mon argumentaire relevait peut-être un peu trop souvent de la méthode Coué que de les amener à un travail de conviction profonde.
Grâce à ma collaboration avec Patricia Soumarmon, j’ai compris que ces blocages venaient la plupart du temps de la peur de l’inconnu, de la peur véhiculée par les cas exceptionnels relatés par les grands médias. Et j’ai pris le problème à bras le corps: la peur, ça se gère.
J’ai déjà repris ailleurs comment gérer cette peur. Néanmoins l’une d’elle, c’est l’hygiène de surf.
“Hygiène de surf” est une vieille expression de blogueurs. Quand on surfe, il y a effectivement des bonnes habitudes à prendre:
- pour éviter de télécharger des virus, des chevaux de Troie (trojan),
- pour éviter de relayer des fausses informations (hoax),
- pour éviter de se faire voler ses données et ses codes d’accès (fishing),
- pour éviter de se faire voler son identité numérique,
- pour ne pas se faire squatter sa connexion internet,
- etc.
Heureuse que je suis, un trio de participants à mes formations a bien accroché à ce principe, et ont développé le blog Hygiène2Surf.wordpress.com Longue vie à leur initiative!
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Interview vidéo: la RueDuWeb pour EnterprizeTV
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=aRqyBdmx9x4]
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Orchestraaa: de la SPRL pyramidale au collectif de spécialistes
En 2010-2011, ma société, anciennement Journaliste-web.be, devenue CommunicationWeb.be pour arrêter d’être perçus comme des pondeurs de textes, s’est trouvée à la croisée des chemins:
- d’un côté nos employés produisaient pour les marques du contenu web de grande valeur économique, mais trop peu exploité commercialement par celles-ci,
- de l’autre d’autres sociétés, plus grandes et plus compétitives, nous demandaient de les accompagner dans les évolutions expérimentales compétitives du 2.0.
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#spreadlove
J’expérimente depuis longtemps le positivisme, et ses effets sur la création de valeur: l’encouragement des clients et des employés, la formulation constructive et positive des critiques et des remarques, les propositions proactives de produits et services… sont autant de leviers “gratuits” à l’augmentation de la productivité, à la fidélisation des clients, à l’émergence d’une intelligence collective bénéfique pour tous.