Marina Aubert

Senior Data Consultant

Author: aubertm

  • Février c’est (aussi) le mois de la France pour Orchestraaa

    Orchestraaa est a accompagné le lancement de FARR (Franco Algériens Républicains Rassemblés) pour ses conseils en Intelligence Collective. Férial Furon, la présidente de ce mouvement évoquera sa confiance en notre collectif :

    – lors du gala de lancement de FARR le 6 février 2014, au Pavillon Dauphine, à Paris

    – dans un article à paraître dans Gazelles Magazine

     

    Nous interviendrons le 22 février 2014 à 13h au cinéma Saint André des Arts, dans le 6ème arrondissement de Paris, à l’occasion de la sortie du film de Frédéric Gibilaro, “Mauvaise Réponse” sur le thème des manipulations.

    Nous y animerons une conférence sur comment passer de Manipulation – Censure – Conflits à Liberté – Egalité – Fraternité. Ce sera l’occasion de vous exposer pourquoi et comment nos dirigeants français peuvent développer l’efficacité de leurs entreprises en s’engageant dans l’Intelligence Collective.

    Venez nous y retrouver…

  • Orchestraaa Programme Presse 2.0

    La presse écrite est en pleine crise: Internet bouscule entièrement ses modes de financement traditionnels, et nombreux sont les titres de presse en train de se noyer dans le tournant numérique.

    Les journalistes de presse expérimentés voient leur travail peu valorisé et le résultat qualitatif pour les lecteurs décroit trop souvent.

    Certains de ces journalistes profitent du web pour tenter de lancer leur propre média. Mais évidemment, le journalisme et la création d’un organe de presse viable sont deux métiers différents.

    Pour leur apporter des conseils de professionnels, nous avons créé le Programme Presse 2.0.

    Dans ce programme, nous accompagnons ces nouveaux entrepreneurs :

    • en optimisant leur proposition commerciale, à destination des lecteurs et des annonceurs.
    • en facilitant la mutualisation des moyens, techniques et commerciaux, grâce à des partenaires spécialisés.
    • en les éveillant aux enjeux de l’évolution de la communication web et des réseaux sociaux.
  • Et si j’ai envie de devenir un e-ermite?

    Pas de souci, certains vont vous faciliter la tache, avec une plateforme centralisant tous les liens pour se désinscrire des plateformes en ligne et des réseaux sociaux: http://justdelete.me/

  • Why do startups die?

    Failure #1: “I had the Next Big Thing”
    An idea has no value as such.

    Failure #2: “we were considered the leader”
    Never overestimate the competition.

    Failure #3: “We thought, ‘We’ll attack this problem a few years before Microsoft and Oracle notice it and recognize it as a problem.’”
    Never underestimate big companies resources.

    Failure #4: “We would’ve spent another three months head down developing it, without a business model or any way to keep paying the rent…”
    Developing without any conversion idea is worthless. No money, no future.

    Failure #5: “The business decision to focus on technology and avoid building a consumer application had a significant impact [on the eventual failure].”
    Technology has no bank account.

    Failure #6: “My billion dollar idea was described as “tired” and “annoying’”
    Long lasting fun is the best way to sell.

    Failure #7: “Issues with money, traction, team, and vision”

    Failure #9: They gave away a service for free, and ran out of cash to pay the bills
    Seriously?

    Read more: http://www.businessinsider.com/33-startups-that-died-reveal-why-they-failed-2013-6?op=1#ixzz2aKvLdmQd

  • La ligne éditoriale de votre (personal) branding

    En donnant mes formations sur l’e-réputation, je me suis rendue compte qu’il n’existait pas de ressource “simple” expliquant ce que devait comporter une ligne éditoriale à destination d’une e-réputation ou d’un personal branding. Tous enrichissements sont les bienvenus.

    La ligne éditoriale définit le type de communication de chaque e-canal, dans le cadre de vos objectifs de e-réputation.

    Vous devez mentionner pour chaque e-canal:

    • son objectif de communication,
    • son positionnement par rapport aux autres e-canaux,
    • les types de contenus publiés:
      • articles, photos, vidéos, sons,
      • contenus propres, contenus relayés (manuellement, automatiquement, de quelle provenance), contenus commentés,
      • avec quel ton, selon quel style d’expression

    EDIT

    La ligne éditoriale précise également de manière pratique le format, le ton, et la fréquence de son expression. Elle est un des éléments de la charte éditoriale.

     

  • A chaque génération son boulot

    Quand ma grand-mère de 88 ans s’inquiète pour mon avenir, alors qu’elle a vécu la Seconde Guerre Mondiale… je me dis que nos soucis économiques ne sont que des petits cailloux dans nos chaussures (des chaussures sans trous, contrairement à celles de beaucoup d’enfants pendant la guerre).

    Pour la rassurer, j’ai mis en perspective nos difficultés: oui, ce n’est pas facile. Mais pour quelle génération, la vie a-t-elle vraiment été facile? Faut-il que nous ayons à détruire puis à reconstruire notre pays, pour que nous puissions être fiers d’une croissance telle quelle était dans les Trente Glorieuses?

    Au final, je me rends surtout compte que, nous aussi, nous devons surtout nous remonter les manches, et que c’est avoir une vision de l’Histoire un peu courte que de se dire que nous n’avons pas de chance. Arrêtons de nous reposer sur les lauriers des autres, et hop, au boulot!

  • Des réseaux sociaux en entreprise, à l’intelligence collective

    Stimulation de l'intelligence collective

    J’avais déjà expliqué sur le blog d’Orchestraaa les résultats étonnants auxquels j’étais arrivée lors d’une première journée d’atelier de formation sur l’e-réputation puis d’une deuxième journée sur les réseaux sociaux en entreprise, auprès d’un groupe de chercheurs d’emploi à Tournai.

    Technocité m’a aujourd’hui donné l’occasion d’étendre la formation sur les réseaux sociaux sur deux jours, à Mons. Motivée par le mémoire de Patricia sur la médiation et l’intelligence collective, je me suis dit que quitte à étudier les réseaux sociaux, autant plonger vraiment dans la pratique et faire travailler le groupe sur leur communauté interne au travers d’un réseau social interne, puis sur la visibilité de leurs talents via les réseaux sociaux externes.

    Evidemment, l’exercice était introduit, documenté, encadré. Le groupe était constitué de demandeurs d’emploi, surtout professionnels en communication. Le public cible idéale pour semer tout un tas de petites graines à voir grandir dans leurs prochains emplois 🙂

    La construction de la communauté interne a clairement pris beaucoup plus de temps que je ne l’avais prévu… mais elle a permis de jeter les bases d’une communauté durable.
    Les participants ont choisi d’ouvrir un Yammer ; prévoyante, j’avais déjà réservé un nom de domaine dédié: Technocity.me.

    A court terme, l’objectif est évidemment de professionnaliser la pratique des réseaux sociaux, et d’en recueillir les fruits en terme de productivité et de valorisation des talents.
    A moyen terme, cette communauté regroupant des chercheurs d’emploi qui se connaissent pourrait peut-être même contribuer à les aider à trouver un emploi, voire à développer leur propre activité? Sérendipitons!

    (et évidemment j’y ai invité les participants du groupe de Tournai)

  • La richesse des rencontres professionnelles

    Je considère la richesse des rencontres effectuées dans la cadre professionnel comme un avantage en nature.
    Sandro Faiella
  • Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres.

    Je reste perplexe sur ces web entrepreneurs partis outre-atlantique vivre le rêve américain, qui reviennent régulièrement, via leurs blogs ou via la presse, cracher sur l’économie européenne.
    Comme si l’Europe ne faisait rien pour stimuler la créativité et l’innovation, comme si l’Europe n’affichait pas la meilleure productivité au monde, comme si l’Europe ne présentait pas parmi les meilleurs chiffres de protection sociale au monde.

    Alors certes, la Silicon Valley est aux Etats-Unis, et nulle part ailleurs.

    Mais dois-je rappeler que ce pays-continent est unilingue, parce que les populations autochtones ont été décimées par les envahisseurs (européens)?
    Faut-il rappeler qu’il bénéficie largement de la fuite des cerveaux des pays qui, eux, investissent vraiment dans l’enseignement de qualité pour tous?

    Comme dit ma mère: ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose, qu’on doit en dégouter les autres…